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CCNT Tours Centre Chorégraphique National de Tours

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SAISON 2023 / 2024 En juin 2014, Thomas Lebrun a reçu le Prix Chorégraphie décerné par la SACD et, en mars 2017, a été nommé au grade de Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.. lien vers le site Cliquez sur la photo de Thomas Lebrun

Opéra de paris ballet saison 2024

Opéra de paris  ballet  saison 2024
Gala d’ouverture de la saison de la danse 2023 2024

Danseur Sohrâb Chitan

Danseur Sohrâb Chitan
Danseur et chorégraphe de la compagnie Sohrâb Chitan: Cliquez sur la photo

The Royal Opera House

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saison 2023. 2024

New York city ballet saison 2024

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LE NEW YORK CITY BALLET EST L'UNE DES PLUS GRANDES COMPAGNIES DE DANSE AU MONDE, AVEC UNE LISTE DE DANSEURS SPECTACULAIRES ET UN RÉPERTOIRE SANS PRÉCÉDENT.

BALLET NATIONAL DE MARSEILLE saison 2023 2024

BALLET NATIONAL DE MARSEILLE saison 2023 2024
ROOMMATES PROGRAMME COMPOSÉ PAR (LA) HORDE AVEC LE BALLET NATIONAL DE MARSEILLE LE 7 AVRIL 2023 - ZEF - SCÈNE NATIONALE DE MARSEILLE –

Ballet de Monté Carlo

Ballet de Monté Carlo
Direction artistique, Jean-Christophe Maillot .saison 2023/ 2024

Béjart Ballet Lausanne Saison 2023/2024

Béjart Ballet Lausanne Saison 2023/2024
Direction artistique Gil Roman AGENDA 2023 2024

Ballet du capitole Toulouse, 2023/ 2024

Ballet  du capitole Toulouse, 2023/ 2024
Saison 2024 Ballet du capitole Toulouse. / L’Opéra national du Capitole souhaite la bienvenue à sa nouvelle directrice de la danse Beate Vollack, est nommée directrice de la danse de l’Opéra national du Capitole de Toulouse par Francis Grass, président de l’Etablissement public du Capitole et président du jury, après audition de six candidats présélectionnés.

Opéra de LYON ( saison de danse 2023/ 2024

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Les tournées du Ballet En 2023-2024, le Ballet de l’Opéra de Lyon ne cessera de rayonner sur les scènes de France et d’Europe où il donnera notamment certaines pièces maîtresses de son répertoire.

Ballet de l'opéra national de Bordeaux saison 2023/2024

Ballet de l'opéra national de Bordeaux saison 2023/2024
Né en France au siècle de Louis XIV, le ballet se développe à Bordeaux dès le XVIIIe siècle et acquiert depuis lors une dimension prestigieuse et créative. Depuis les années 1990, le Ballet de l'Opéra de Bordeaux a su ouvrir son héritage classique à la modernité au contact de nombreux chorégraphes.- ballet, opéra, musique, théâtre. CLIQUEZ SUR LA PHOTO

vendredi 18 décembre 2020

Paul Marque a été nommé Danseur Étoile de l'Opéra de Paris le 13 décembre lors de l'unique représentation de La Bayadère de la saison, dans une salle vide mais devant 10.000 personnes devant leur écran. Pur produit de l'École de Danse de l'Opéra de Paris, Paul Marque a démarré sa carrière de façon fulgurante, nommé à seulement 23 ans. DALP a fouillé dans ses archives pour retracer son beau début de parcours.


La nouvelle Étoile de l'Opéra de Paris, Paul Marque ! – Paul Marque nommé Danseur Étoile – Retour sur son début de carrière

Paul Marque a été nommé Danseur Étoile de l'Opéra de Paris le 13 décembre lors de l'unique représentation de La Bayadère de la saison, dans une salle vide mais devant 10.000 personnes devant leur écran. Pur produit de l'École de Danse de l'Opéra de Paris, Paul Marque a démarré sa carrière de façon fulgurante, nommé à seulement 23 ans. DALP a fouillé dans ses archives pour retracer son beau début de parcours.

Le Lac des cygnes de Rudolf Noureev - Paul Marque

Né à Dax en 1997, Paul Marque découvre la danse très jeune, vers 4 ans, grâce à sa grande sœur qui prenait des cours. D'abord passé par une école privée, il entre au Conservatoire de Dax avant de participer au stage de danse de Biarritz, qui réunit de nombreux professeur.e.s de l'Opéra de Paris. Il y rencontre notamment Nicole Cavallin qui lui parle de l'École de Danse de l'Opéra de Paris. Paul Marque décide finalement de s'y présenter à l'âge de 10 ans, est reçu du premier coup et y rencontre en tant que Petit stagiaire en 2008, en tant qu'interne. Il passe toutes ses divisions sans encombre et arrive en première division en 2014, où il danse notamment dans Napoli-Pas de six d'Auguste Bournonville. Quelques mois plus tard, il réussit le concours d'entrée du Ballet de l'Opéra de Paris, en même temps qu'Eugénie Drion, Marion Gautier de Charnacé, Héloïse Jocqueviel, Awa Joannais, Axel Magliano, Julien Guillemard et Isaac Lopes-Gomes, la première génération recrutée par Benjamin Millepied.

Et Paul Marque a droit à son premier rôle d'importance deux mois après sa rentrée, pour les adieux de Brigitte Lefèvre, où il danse Aunis de Jacques Garnier avec Pablo Legasa et Julien Guillemard, un trio qui enthousiasme. Le danseur fait ses armes dans le corps de ballet, gagne l'expérience de la scène avec le groupe 3e Étage. Et se démarque dès son premier Concours de promotion, en novembre 2015, où il est promu Coryphée avec une très belle variation lente de Siegfried. "La première place de Paul Marque, et à l'unanimité, est une évidence. Ce jeune danseur a non seulement une belle technique, mais aussi, déjà, une âme d'artiste qui se voit", écrivait DALP à l'époque. Un succès qui fait mouche auprès de Benjamin Millepied, qui lui confie quelques mois plus tard un solo dans Les Variations Goldberg de Jerome Robbins - "Le tout jeune Paul Marque est une révélation. Pour son premier solo, il semble avoir fait ça toute sa vie, avec une aisance en scène et déjà une intelligence du mouvement qui séduit".

L'arrivée d'Aurélie Dupont ne modifie pas la belle trajectoire de Paul Marque. En juin 2016, il participe à la création Blake Works I de William Forsythe, avant de remporter durant l'été la médaille d'or du prestigieux Prix de Varna. En octobre de cette même année, il monte Sujet en choisissant une variation typique de l'école française qu'il affectionne, Marco Spada de Pierre Lacotte. Il fait ses armes dans des pas de deux et pas de trois, avec le groupe Les Italiens de l'Opéra de Paris en dehors du Palais Garnier. Il affirme sa technique brillante et virtuose, qui ne se départit jamais de l'élégance de l'école française. En décembre 2017, place ainsi à son premier grand rôle, et non des moindres : Basilio dans Don Quichotte. S'il semble encore un peu dépassé par l'enjeu, "il n’a nullement démérité même si sa danse ne fut pas toujours très propre [...] Et il sembla de plus en plus à l’aise au fil du spectacle pour être un partenaire efficace pour le Grand Pas final", la direction lui renouvelle toutefois sa confiance en le nommant quelques mois plus tard Premier danseur, avec la variation de Jean de Brienne. Il remporte cette même année le Prix de l'AROP aux côtés de Letizia Galloni.

C'est vraiment en 2018 que Paul Marque évolue artistiquement, montrant son talent d'interprète dans des rôles très différents, avec toujours beaucoup d'implication et de présence en scène, grandissant au fur et à mesure des représentations. Il propose ainsi un très poétique Lenski dans Onéguine de John Cranko, avant de danser un joyeux et juvénile Colas dans La Fille mal gardée de Frederick Ashton. Il s'empare de l'humour de Fancy Free de Jerome Robbins, montrant une belle évolution dans le partenariat, et n'a pas peur de s'attaquer à A Suite of dances : "S'il n'a pas encore la personnalité dessinée de Mathias Heymann, on sent l'emprise qu'il porte peu à peu sur scène. La beauté de sa danse fait le reste. C'est en tout cas un plaisir de voir sa progression au fur et à mesure de ses prises de rôle, le jeune Premier danseur n'a pas fini de nous étonner". En décembre, il étonne dans le personnage de Gaston Rieux dans La Dame aux camélias de John Neumeier - "Vulgaire comme il faut et vraiment drôle" - et brille avec le Professeur de danse dans Cendrillon de Rudolf Noureev - "À la fois brillant techniquement et présent dans le jeu, sachant jouer sur l'humour et dessinant les traits d'un personnage amusant".

Le titre de Danseur Étoile lui semble décidément promis quand démarre 2019, même si la programmation plus contemporaine lui offre moins de rôles. Paul Marque réalise toutefois son rêve en s'emparant du rôle de Siegfried dans Le Lac des cygnes de Rudolf Noureev d'après Marius Petipa, un rôle et une version qu'il affectionne plus particulièrement. En décembre 2019, pour la reprise tant attendue de Raymonda, il danse avec panache le rôle de Bernard. Le premier rôle de Jean de Brienne l'attend pour la fin de la série, laissant présager la nomination tant attendue. Mais les grèves en décident autrement et le reste des représentations sont finalement annulées. Alors qu'on l'attendait par la suite dans Giselle, il est distribué dans la belle soirée Balanchine, où il brille dans Les Quatre Tempéraments. Puis le confinement fait le reste et Paul Marque est comme tous les danseurs et danseuses du monde : confiné.

La reprise en octobre le retrouve fébrile, dans l'alambiqué pas de deux de Casse-Noisette de Rudolf Noureev sur l'avant-scène du Palais Garnier. Mais le talent et la progression sont toujours là. Pour la série de Noël de La Bayadère de Rudolf Noureev d'après Marius Petipa, il a de nombreuses dates sur l'Idole dorée et reste remplaçant en Solor... Une nomination qui là encore lui tend les bras. Mais les théâtres doivent finalement rester fermés. Paul Marque devra-t-il attendre encore un peu plus ? Non ! La direction décide finalement de le nommer Danseur Étoile le 13 décembre, alors qu'il danse l'Idole dorée, lors de l'unique représentation de La Bayadère sans public mais en streaming. Une nomination qui récompense à la fois un talent très prometteur, mais aussi un danseur qui a su évoluer et progresser en peu de temps, montrant une marge de progression qui laisse rêveur-se. À seulement 23 ans, Paul Marque voit ainsi une très belle carrière s'ouvrir devant lui. Pour la suite, si la situation sanitaire le permet, on l'imagine déjà avec plaisir s'emparer du rôle de Roméo. En espérant ensuite que les saisons suivantes soient un peu plus tournées vers le classique, genre où il excelle, que ce soit le répertoire ou les œuvres du XXIe siècle. 
par : Amélie Bertrand danse avec la plume

https://www.dansesaveclaplume.com/en-coulisse/1107356-paul-marque-nomme-danseur-etoile-retour-sur-son-debut-de-carriere/

Paul Marque, une nouvelle étoile à l’Opéra de Paris

Le danseur de 23 ans a été nommé le 13 décembre, à l’issue de la représentation du ballet « La Bayadère », présenté à huis clos mais diffusé en ligne.

https://www.lemonde.fr/culture/article/2020/12/15/danse-paul-marque-une-nouvelle-etoile-a-l-opera-de-paris_6063423_3246.html


Paul Marque, idole et étoile

Le danseur a été nommé dimanche, à l’issue de la captation de La Bayadère devant une salle vide à l’Opéra Bastille.

Par Ariane Bavelier

https://www.lefigaro.fr/culture/paul-marque-idole-et-etoile-20201214

Paul Marque nouveau Danseur Etoile de l'Opéra de Paris

https://www.francemusique.fr/actualite-musicale/paul-marque-nouveau-danseur-etoile-de-l-opera-de-paris-90690

Paul Marque

Paul Marque est un danseur Etoile de l’Opéra de Paris, né en 1997 à Dax. Passé par l’école de l’Opéra de Paris, il a été nommé Etoile en décembre 2020.

 https://danseclassique.info/personnes/paul-marque/

jeudi 10 décembre 2020

Danse, culture, Paul Rivard ,danseur et finaliste de Prodige, Originaire d'Orléans, région centre val de loire, Paul Rivard n’est pas « Prodige » La Republique du centre a interviewé cet élève de terminale au parcours peu commun.

Le prodigieux Orléanais Paul Rivard n’est pas « Prodige »

Comme lors de la demi-finale le 1er décembre, Paul Rivard, le jeune danseur orléanais, a offert une belle prestation lors de la finale de l'émission "Prodiges" sur France 2, mardi 8 décembre. Malheureusement, le jeune homme de 16 ans n'a été sacré ni prodige de l'année, ni prodige de sa catégorie (danse classique).

Il n'a pas démérité et a fait la fierté de ses parents, émus aux larmes. Malheureusement, Paul Rivard, le jeune danseur orléanais, finaliste de l’émission « Prodiges », diffusée mardi 8 décembre sur France 2, n’a pas remporté le titre de « Prodige de l’année », ni n’est ressorti vainqueur de sa catégorie (danse classique).

Sa grande élégance et la belle musicalité de sa danse

Malgré son « travail précis, ses pirouettes belles et larges (...), sa grande élégance et la belle musicalité de sa danse », Paul Rivard, 16 ans, n’a pas assez convaincu les membres du jury Marie-Claude Pietragalla, Gautier Capuçon, et Julie Fuchs, pourtant enthousiastes à son encontre.

Il s'était pourtant préparé à cette finale, qui lui paraissait « presque irréelle », en appliquant les conseils de l'ancienne étoile du ballet de l'Opéra national de Paris sur les pliés. Le jeune homme a présenté une pièce « pleine de rebondissements » sur la Symphonie n°9 de Beethoven qui va « être impressionnante » assurait-il en amont de sa participation à l'émission enregistrée à Marseille.

L'ancien petit rat de l'Opéra de Paris, qui a commencé la danse à l’age de 4 ans, à l’école municipale de La Chapelle­-Saint-Mesmin, a néanmoins vécu « une belle aventure, qui m'a notamment permis de rencontrer Marie-Claude Pietragalla ».

2 minutes 25 secondes. C’est le temps qu’a eu l’Orléanais Paul Rivard, 16 ans, collant noir, chemisier blanc et corset bleu, pour séduire le jury de Prodiges, le programme de France 2 dont une première émission a été diffusée mardi 1er décembre. La suite (la finale) se joue ce mardi 8 décembre, avec toujours notre danseur local en lice. La Rep' l'a interviewé. 

Le jury en a sélectionné trois par catégorie en vue de la finale diffusée ce mardi 8 décembre en soirée. Paul, avec son interprétation de Casse-noisette, danse russe, a été retenu.

                                     Paul Rivard – photo YAGP Paris 2019

Comment est née votre passion pour la danse?

J’ai découvert la danse classique à l’âge de 2 ans en regardant le film Billy Elliot avec ma grande sœur. J’ai directement demandé à mes parents de faire de la danse, parce que j’admirais beaucoup le jeune garçon dont c’était la passion. À 4 ans, j’ai commencé à prendre des cours à l’école municipale de La Chapelle-Saint-Mesmin, avec Émilie Plotton. À 6 ans, ma prof a annoncé à mes parents, pour les préparer à l’idée, qu’elle aimerait me faire passer l’examen d’entrée à l’Opéra de Paris pour mes 8 ans (l’âge minimum pour l’intégrer). J’ai été pris.

Ça m’a tout de suite plu, j’ai très vite demandé à faire plus d’heures, je voulais découvrir la danse comme je l’avais vue dans le film Billy Elliot, aller bien au-delà des exercices d’éveil.

Vos parents ont-ils eu des réticences?

Je me souviens que ma pédiatre leur avait demandé si c’était vraiment mon choix; elle était un peu apeurée, parce que c’était, forcément, assez rare. Mais c’était bien ce que je voulais.

L’idée de partir ne vous a pas effrayé?

Je me suis juste dit que j’allais faire des choses que j’aime, tous les jours, et que j’allais être avec des gens qui aiment aussi faire cela quotidiennement. Mais c’est sûr qu’à 8 ans, la distance avec la famille est compliquée à vivre. Je ne la voyais que le week-end alors que je ne l’avais jamais quittée. Je n’étais jamais allé au centre aéré; en vacances, j’étais soit chez mes grands-parents, soit avec mes parents. C’était donc forcément un peu dur, mais c’est un sacrifice que l’on fait pour ce que l’on aime. J’en ai de bons souvenirs, notamment des spectacles. On me choisissait pour des ballets comme Casse-Noisette, La Bayadère…

Un modèle? Hugo Marchand, de lOpéra national de Paris, danseur étoile. Il est très grand et je trouve quil danse vraiment avec beaucoup de grâce.

paul rivard (danseur orléanais)

Jusqu’à quand êtes-vous resté à l’Opéra de Paris?

Je l’ai quitté à 12 ans et suis revenu à Orléans. Chaque fin d’année, en juin, on préparait des variations et on passait devant un jury d’une vingtaine de personnes. Si on obtenait moins de 60 points, on ne restait pas. Ce qui est frustrant, c’est que c’est juste affiché sur une porte; je nai jamais vraiment compris le pourquoi du comment. Quand j'ai été renvoyé, au début, j’étais bien sûr déçu; pendant un moment, j’essayais de ne plus trop penser à la danse. Mais c’était une passion si forte… J’ai repris dès la rentrée, en septembre.

Qu’avez-vous fait?

J’ai rejoint l’académie Émilie Plotton à Orléans. Je m’entraînais trois fois par semaine, de 20 à 22 heures en général. C’était surtout une organisation à avoir. Après le collège, rentrer, faire ses devoirs, manger… puis danser. Y’avait le week-end pour se reposer!

Je fais 25 à 27 heures de danse par semaine.

Quel a été votre parcours ensuite?

Dans mon année de 3e, Émilie Plotton m’a parlé d’une très bonne école à Toulouse, le VM Ballet. J’ai de suite accepté de passer les auditions car j’avais envie de danser encore plus d’heures. J’ai été pris; ça fait maintenant trois ans que jy suis, en sport études. Je fais 25 à 27 heures de danse par semaine.

Je me lève à 6h30. J’arrive à 7h30 à l’école pour m’échauffer, réveiller un peu mon corps. Je commence le cours de danse à 8 heures; il dure deux heures. À 10 heures, jenchaîne avec un cours de répertoire, cest-à-dire des variations de danse classique.

Après le temps de repas, je passe à la partie scolaire. Puis il y a un tant consacré plutôt à la création de spectacles.

Comment tenez-vous physiquement?     H 1,86 poids environ 60kg.

Principalement grâce au repos. Ça demande forcément une bonne hygiène de vie. Je me couche vers 21h30 tous les soirs pour être sûr davoir une bonne nuit de sommeil.

Avez-vous l’impression de passer à côté de quelque chose?

Je me dis qu’en danse classique, la carrière s’arrête tôt, vers 40 ans. Autant se donner à fond maintenant et vivre le reste après.

Avec les autres candidats, on s’entend très bien, on s’appelle en général tous les dimanches via Zoom.

Comment vous êtes-vous retrouvé dans l’aventure Prodiges?

Le VM Ballet participe souvent à l’émission, propose des candidats. J’ai passé les auditions et ça a marché. Il y avait 300 candidats en tout, au départ. Je n’avais jamais pensé faire Prodiges avant cela. J’avais surtout retenu Melvin (danseur vainqueur de Prodiges 2015), mais je ne m’étais jamais dit que je pourrais être à sa place un jour. Même si je ne l’avais pas envisagé, j’ai tout de suite dit oui quand on me l’a proposé, car cela reste toujours une belle expérience, entre autres de voir Marie-Claude Pietragala!

Elle a été comment avec vous?

Après le clap de fin, elle a échangé quelques mots avec nous, de petits conseils. Elle m’a dit de plus respirer et de penser à mon plié : j’étais d’accord, c’est souvent des points sur lesquels on me reprend.

 

Vous vous étiez déjà produit devant un tel public?

Devant autant de monde, oui, avec l’Opéra de Paris et My Fair Lady au Zénith d’Orléans. Mais ce qui était différent, c’était les caméras, tout cet univers de la TV.

C’était une belle aventure humaine?

Oui. Avec les autres candidats, on s’entend très bien, on s’appelle en général tous les dimanches via Zoom. On garde vraiment un lien très fort. Quant aux danseurs en particulier, trois élèves (dont lui) du VM Ballet figuraient parmi les cinq candidats… et ils sont tous finalistes! On était très surpris et très heureux daller ensemble en finale.

Je me suis souvent demandé si je pourrais monter une école de danse ou créer des ballets, pourquoi pas être chorégraphe. Mais pour le moment, je n’y pense pas trop, je préfère profiter.

paul rivard (danseur orléanais)

Et si vous l’emportiez ce mardi soir, qu’aimeriez-vous faire?

Je me servirais au mieux de cette aventure pour entrer dans une nouvelle école, ou même dans une compagnie de danse pour en faire ma carrière. Pourquoi pas partir à l’étranger : San Francisco Ballet School (entre autres) serait un peu ma compagnie de rêve.

Vous avez eu des retombées après votre passage télévisé mardi dernier?

J’ai vu mes abonnés Instagram augmenter! Et j’ai eu beaucoup d’appels de ma famille et de mes amis, pour me dire leur fierté. 

Source article la république du centre - région centre val de loire

https://www.larep.fr/orleans-45000/loisirs/l-incroyable-parcours-de-paul-16-ans-le-danseur-orleanais-finaliste-de-l-emission-prodiges-i_13888654/ 


Originaire d’Orléans, Paul Rivard est un élève du VM Ballet, une école de danse classique à Toulouse, après avoir été à l’Ecole de l’Opéra de Paris. Il a participé à l’émission Prodiges saison 7 (décembre 2020).

https://danseclassique.info/personnes/paul-rivard/

https://vmballet.com/news/2284/

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