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CCNT Tours Centre Chorégraphique National de Tours

CCNT Tours Centre Chorégraphique National de Tours
SAISON 2023 / 2024 En juin 2014, Thomas Lebrun a reçu le Prix Chorégraphie décerné par la SACD et, en mars 2017, a été nommé au grade de Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.. lien vers le site Cliquez sur la photo de Thomas Lebrun

Festival Tours d' D'horizons du 29 mai au 15 juin 2024

Festival Tours d' D'horizons du 29 mai au 15 juin 2024
Festival de danse. Centre chorégraphique national de Tours, direction Thomas Lebrun

Opéra de paris ballet saison 2024

Opéra de paris  ballet  saison 2024
Gala d’ouverture de la saison de la danse 2023 2024

Danseur Sohrâb Chitan

Danseur Sohrâb Chitan
Danseur et chorégraphe de la compagnie Sohrâb Chitan: Cliquez sur la photo

compagnie François Mauduit

compagnie François Mauduit
Ex-soliste du ballet Maurice Béjart Ce danseur créateur ancré dans son époque, affiche un style d'une réelle modernité issu de sa pratique classique et moderne. Du talent et du travail, nait un Danseur De la rencontre et de la complicité avec Maurice Béjart, nait un Chorégraphe Médaillé d'Or à plusieurs concours internationaux, il intègre à 15 ans le Conservatoire National Supérieur de danse de Paris puis à 17 ans l'Ecole de danse de l'OPERA DE PARIS. En 2002, il a enregistré ses premiers contrats à l’OPÉRA DE FLORENCE puis à l'Opéra de Bordeaux. En 2003, MAURICE BEJART s'engage dans sa compagnie. Durant quatre années, il danse les plus grandes œuvres du Maître et se distingue notamment en tant que soliste dans « La flûte enchantée », « L’Oiseau de feu », «Dionysos» ou encore «L'amour, la danse». Création de sa propre compagnie en 2006 et compte plus d'une sœur de ballets qui tournent en France et en Europe...

The Royal Opera House

The Royal Opera House
saison 2023. 2024

New York city ballet saison 2024

New York city ballet saison 2024
LE NEW YORK CITY BALLET EST L'UNE DES PLUS GRANDES COMPAGNIES DE DANSE AU MONDE, AVEC UNE LISTE DE DANSEURS SPECTACULAIRES ET UN RÉPERTOIRE SANS PRÉCÉDENT.

BALLET NATIONAL DE MARSEILLE saison 2023 2024

BALLET NATIONAL DE MARSEILLE saison 2023 2024
ROOMMATES PROGRAMME COMPOSÉ PAR (LA) HORDE AVEC LE BALLET NATIONAL DE MARSEILLE LE 7 AVRIL 2023 - ZEF - SCÈNE NATIONALE DE MARSEILLE –

Ballet de Monté Carlo

Ballet de Monté Carlo
Direction artistique, Jean-Christophe Maillot .saison 2023/ 2024

Béjart Ballet Lausanne Saison 2023/2024

Béjart Ballet Lausanne Saison 2023/2024
Direction artistique Gil Roman AGENDA 2023 2024

Ballet du capitole Toulouse, 2023/ 2024

Ballet  du capitole Toulouse, 2023/ 2024
Saison 2024 Ballet du capitole Toulouse. / L’Opéra national du Capitole souhaite la bienvenue à sa nouvelle directrice de la danse Beate Vollack, est nommée directrice de la danse de l’Opéra national du Capitole de Toulouse par Francis Grass, président de l’Etablissement public du Capitole et président du jury, après audition de six candidats présélectionnés.

Opéra de LYON ( saison de danse 2023/ 2024

Opéra de LYON ( saison de danse 2023/ 2024
Les tournées du Ballet En 2023-2024, le Ballet de l’Opéra de Lyon ne cessera de rayonner sur les scènes de France et d’Europe où il donnera notamment certaines pièces maîtresses de son répertoire.

Ballet de l'opéra national de Bordeaux saison 2023/2024

Ballet de l'opéra national de Bordeaux saison 2023/2024
Né en France au siècle de Louis XIV, le ballet se développe à Bordeaux dès le XVIIIe siècle et acquiert depuis lors une dimension prestigieuse et créative. Depuis les années 1990, le Ballet de l'Opéra de Bordeaux a su ouvrir son héritage classique à la modernité au contact de nombreux chorégraphes.- ballet, opéra, musique, théâtre. CLIQUEZ SUR LA PHOTO

mercredi 18 novembre 2020

Germain Louvet,danseur étoile à l'opéra de paris, fait partie de ces figures charismatiques que l'on n'oublie pas - peut-être est-ce dû à son éclatante jeunesse, son port altier ou l'allure qu'il a sur scène. À 27 ans, l'étoile de l'Opéra national de Paris est la figure de proue d'une nouvelle génération de danseur·euse·s ouvert·e·s, engagé·e·s et connecté·e·s. De Paris à Saint-Pétersbourg, le danseur s'invite sur les plus grandes scènes et fait la une des magazines de mode, tout en posant pour Alessandro Michele chez Gucci et pour Jean Paul Gaultier. Depuis sa jeunesse au sein des petits rats de l'Opéra de Paris, la jeune étoile poursuit son ascension dans la prestigieuse institution parisienne sans rien perdre de ses idéaux. Entretien avec un artiste de son temps, dont l'engagement est chevillé au corps.

Printemps.com : Tu as été nommé danseur étoile de l'Opéra national de Paris, à 23 ans, à l'issue de la représentation du ballet Le Lac des cygnes de Rudolf Noureev, en 2016. Comment as-tu vécu cette consécration ?

Germain Louvet : Je venais de danser un ballet de trois heures, donc c'était un moment assez étrange. Les gens s'attendent toujours à un récit particulier de cette soirée, mais c'est arrivé de manière inattendue, car on a beau l'avoir rêvé, lorsqu'on le vit réellement, on a finalement du mal à y croire. C'est aussi le public et ses réactions qui m'ont fait prendre conscience de l'intensité de cet instant, et surtout, de voir mes parents pleurer à la fin de la représentation. J'ai été nommé «étoile» jeune en comparaison à d'autres danseurs, mais cela s'est fait de manière assez naturelle et logique. J'ai d'abord fait du corps de ballet, puis j'ai eu des rôles de soliste, et j'ai pu rencontrer des chorégraphes et des danseurs qui m'ont fait évoluer humainement et artistiquement. J'ai aussi toujours eu de bonnes relations avec les trois directeurs de l'Opéra, et cela m'a aidé à avancer sereinement au sein de cette institution.

Tu as commencé la danse à l'âge de 4 ans, puis tu es entré au Conservatoire national de région de Chalon-sur-Saône, trois ans plus tard. Être danseur, c'était une vocation?

Petit, je dansais déjà chez moi, cela m'est venu naturellement. J'ai donc demandé à mes parents de m'inscrire à des cours, comme certains camarades de classe, puis je n'ai jamais arrêté. J'aimais danser et mes professeurs m'encouragaient à continuer, mais à l'époque, je ne réfléchissais pas à en faire ma carrière. Puis on m'a proposé d'entrer à l'École de danse de l'Opéra de Paris et c'est là que tout a commencé. À 12 ans, j'ai découvert que la danse pouvait être un métier et qu'elle renfermait tout un monde de spectacle, d'illusions, de costumes et de magie... C'est à ce moment-là que j'ai construit mon rêve et forgé mon ambition d'aller jusqu'au bout.

Les danseurs de l'Opéra national de Paris représentent une troupe d'élite fondée sur l'excellence. Comment parvenez-vous à concilier cette rigueur, parfois ascétique, avec votre vie personnelle ?

Il y a toujours eu une petite voix grâce à laquelle j'ai structuré ma vie personnelle et professionnelle sans trop me poser de questions. Je n'ai jamais ressenti le besoin de repousser mes limites à l'extrême.

Cette année a été pour le moins particulière : entre les grèves des danseurs de l'Opéra de Paris pour protester contre la réforme des retraites et la pandémie, tu n'as pas pu beaucoup danser sur scène. Comment as-tu vécu cette privation ?

Le pire, je crois, c'était de ne pas savoir quand nous pourrions retrouver le rythme normal des entraînements et des représentations. J'ai eu l'impression de perdre certaines capacités physiques et surtout le souvenir réel de la scène. Pendant le confinement, nous, les danseurs, avions le sentiment d'être inutiles, car on ne pouvait pas télétravailler. On s'entraînait quotidiennement, mais ce n'était pas très agréable, seul et à distance, pendant trois mois. Heureusement, j'ai repris les cours depuis mi-juin.

« J'ai une parole, des idées et je me bats pour qu'elles restent libres. »

L'Opéra national de Paris a vécu la plus longue grève de son histoire, dont tu étais l'un des porte-parole malgré une opposition véhémente d'une partie de la direction, des médias et même du public. Pourquoi avoir mené ce combat jusqu'au bout ?

Je suis très impliqué sur les questions de société. Je me sens engagé politiquement, et tout ce qui se passe autour de moi a un impact sur mon mental et mon moral. Je ne suis pas très à l'aise avec l'attentisme, j'ai une parole, des idées et je me bats pour qu'elles restent libres. Je pense que les artistes ont une responsabilité vis-à-vis de la société. En tant qu'interprète, j'ai la chance de rencontrer beaucoup de monde et de pouvoir ouvrir le dialogue. Je trouve lâche et naïf de penser que nous sommes ici juste pour divertir, et que nous évoluons dans un monde parallèle loin de toutes les réalités politiques et sociétales. Cette vision me semble désuète. Le militantisme est aussi lié à notre génération, avec l'augmentation de l'information et des connexions entre les gens. On a pu le voir récemment avec l'affaire George Floyd qui a fait écho dans le monde entier. Je pense que cela est vraiment propre à notre temps et à l'ère d'internet. Mais il ne faut pas pour autant que ce militantisme devienne une forme de «mode » et qu'il soit récupéré comme un outil commercial, par des marques, notamment.

Tu es aussi mannequin : tu as posé pour plusieurs magazines dont Vogue, tu as défilé pour Jean Paul Gaultier et tu collabores ponctuellement avec de grandes maisons comme Gucci ou Dior. Quelles similitudes y a-t-il selon toi entre le métier de danseur et celui de modèle ?

Aucune ! Mon métier, c'est d'être danseur et même si je me prête au jeu du shooting, je ne me sens pas mannequin pour autant. Je pense en revanche que ces deux jobs pourraient se ressembler si les modèles parvenaient à exister davantage devant l'objectif en tant que personnes, et non comme simples sujets. Je trouverais plus intéressant qu'ils revendiquent leurs valeurs et leur posture dans la société.

La mode semble aller dans ce sens aujourd'hui, non ?

La mode évolue dans le sens des Kardashian, mais elle met aussi en lumière de nouvelles personnalités qui vont donner de la vie aux vêtements, comme des artistes trans ou des personnes qui incarnent autre chose qu'un physique. Je pense qu'il faut oser sortir des carcans sans toutefois tomber dans la récupération, bien sûr, là est toujours le danger.

   Quelle marque de mode t'inspire le plus ?

J'aime beaucoup ce que fait Alessandro Michele pour Gucci, avec qui j'ai déjà collaboré. Il s'amuse avec les codes du genre, des époques et cela avec beaucoup d'humour. Je trouve que l'humour manque dans la mode !

Plus généralement, quel·le·s artistes affectionnes-tu particulièrement ?

Je suis très influencé par la chorégraphe et danseuse allemande Pina Bausch, qui a eu un impact déterminant sur le spectacle vivant contemporain. En France, j'aime beaucoup l'esthétique du réalisateur français Bertrand Mandico, l'œuvre de l'artiste plasticien Kader Attia, et je suis aussi très admiratif du travail des chorégraphes Mathilde Monnier et François Chaigneau, avec qui je me verrais bien collaborer.

Tu as aussi entamé une carrière de soliste et tu effectues des représentations en Italie, en Grande-Bretagne, en Allemagne, en Italie et même sur la scène du Mariinsky, à Saint-Pétersbourg. C'est important pour toi d'être indépendant ?

Je suis très bien à l'Opéra et je m'entends merveilleusement avec la compagnie, mais je pense qu'il est également important pour un danseur d'élargir son horizon et de pouvoir effectuer des représentations à l'extérieur. Cela permet de s'exercer dans une autre structure qu'une maison qui est la sienne depuis que l'on est petit, et où l'on est parfois cantonné à un rôle et à une vision que l'on a de toi. Danser à Saint-Pétersbourg, à Berlin ou encore à Milan, c'est comme une bouffée d'oxygène qui permet aussi une véritable prise de conscience et de découverte de soi-même.

https://www.printemps.com/fr/fr/edito-arts-germain-louvet-danseur-etoile

 https://www.facebook.com/BalletdelOperadeParis/videos/69203441144328

Blogger;  Germain Louvet, ce jeune danseur,milite pour une vision de la société, il ne trouve aucun lien entre la mode et son métier de danseur, et pourtant tout se tient , dans une société on ne peut dissocier l'art de la danse de l'art de la mode, et des créateurs. la danse est une mode , même le classique est dans le temps présent qui passe. la danse s’efface elle est  éphémère dans l'instant, elle revient sur la scène à chaque création et représentation , il faut tout recommencer à chaque fois. 

 Sur la question de la récupération commerciale
 ( sic,germain Louvet, Mais il ne faut pas pour autant que ce militantisme devienne une forme de «mode » et qu'il soit récupéré comme un outil commercial, par des marques, . que le militantisme soit récupérer,notamment.)

  l'opéra de paris et les danseurs, danseuses, ont aussi besoin de mécènes,ou d'entreprises commerciales qui apportent leur contribution financière à la danse à la musique, etc. le militantisme et l’activiste se servent du commercial de cette récupération qui fait peur,il suffit de voir le nombre de livres qui se retrouvent sur Amazon, par ceux et celles qui critiquent et attaquent Amazon et les GAFA.

 la récupération dite commerciale peut devenir un jeu gagnant gagnant ou chacun reste sur sa position, tout en ayant un point commun qui rassemble sur le fond, et tout le monde fait avancer sa cause. il y des combats qui ne peuvent faire l'objet d'aucune concession tant il y a d'injustices ou de discriminations.

 le milieu de la danse n'échappe pas à certaines moqueries,discriminations,violences verbales, parfois  une homophobie latente, au sein même de cette institution, à l'encontre des danseuses et des danseurs.

On peut critiquer  le capitalisme, la mondialisation, la récupération commerciale, mais il faut dans ce cas vivre comme  un Robinson Crusoé, pour être en phase avec soi même et ses idées.  Pour terminer je dirai que j'aime  bien ce jeune danseur, il sort du lot, se mouille , il ouvre sa gueule comme l'on dit, surtout dans un univers qui semble un peu bourgeois hors du temps en apparence, qu'il continue à rester lui même. il apporte un peu de fraicheur dans l'univers  de la danse classique, cela fait du bien. by gr@37

dimanche 15 novembre 2020

Danse , culture. A relire l'article sur ce jeune danseur Germain Louvet, jeune étoile : "J'ai mis plusieurs mois à me sentir légitime"

 


               Claire Chazal et Germain Louvet danseur étoile

Il est la première des quatre étoiles nommées par Aurélie Dupont, directrice du ballet de l'Opéra national de Paris depuis plus d'un an. Portrait de Germain Louvet, un jeune artiste et athlète qui est allé vite et reste conscient du chemin à parcourir...

Directrice du ballet de l'Opéra national de Paris, l'ancienne étoile Aurélie Dupont vient de boucler sa première saison. Alors qu'un document interne révèle des cas de harcèlements et certains dysfonctionnements de l'institution, la directrice entend bien y remédier et poursuivre son travail. Le 1er juillet 2018, dans le Journal du dimanche, elle résumait son état d'esprit ainsi : "Cette compagnie est un nid de talents et j'ai énormément ambition pour eux. Mais il faut être patient. Quand je suis devenue étoile, je ne faisais pas non plus l'unanimité... Une carrière se juge sur la durée. J'ai nommé quatre étoiles depuis mon arrivée. Il faut leur laisser le temps de se développer et de nous surprendre." Germain Louvet, l'une de ses étoiles, surprend déjà...

À 25 ans seulement, le jeune danseur est allé vite, très vite. Il entre dans le corps de ballet dès sa majorité. Alors qu'il n'est encore que coryphée, 4e échelon dans la hiérarchie des danseurs, Germain Louvet se voit offrir son premier rôle par le directeur du ballet de l'époque, l'audacieux Benjamin Millepied. Comme le danseur le raconte dans le portrait que lui consacre Claire Chazal dans Paris Match, en kiosques le 28 juin, être le prince dans Casse-Noisette lui permet de travailler de très près avec Aurélie Dupont, encore étoile. Une chance immense : "Ce furent deux mois fondateurs, j'ai compris ce qu'être seul en scène signifiait. Aurélie m'a appris à être soliste, j'ai une très grande admiration pour elle en tant que danseuse et directrice. Les battements cardiaques, la bouche sèche, les crampes... Il faut les accepter : tirer partie d'un état de fébrilité et faire de ses peurs une force."

Première fois à La Scala

Après ce Casse-noisette, Germain Louvet – qui voulait être danseur dès l'âge de 4 ans ! – tient son nouveau grand rôle dans Roméo et Juliette puis il est de nouveau prince dans Le Lac des cygnes. Nous sommes le 28 décembre 2016 et il devient étoile à l'issue de cette représentation. Il a 23 ans à peine. Il venait d'être promu premier danseur lors du concours interne – un titre qu'il ne devait porter qu'à partir du 1er janvier 2017, mais Aurélie Dupont en aura décidé autrement.

                                        Germain louvet

Au moment de cette interview pour Paris Match, en mai 2018, le jeune Germain Louvet est à la Scala de Milan pour la première fois de sa carrière. On y célèbre, sur trois jours, l'anniversaire de naissance et de mort de l'immense Rudolph Noureev. Le défi est de taille : interpréter le difficile acte III de La Belle au bois dormant du danseur et chorégraphe russe en compagnie de la grande danseuse du Bolchoï Svetlana Zakharova. Face à une artiste qui connaît parfaitement le ballet de Noureev, le Français n'a pas le droit à l'erreur. Une épreuve comme il en surmontera d'autres : "J'ai mis plusieurs mois à me sentir légitime. À trouver une sorte de posture intérieure, plus solide. Et enfin je me suis dit : 'Personne ne pourra plus jamais m'empêcher de danser.' (...) Mais je sais que tout est à faire maintenant..."

 source https://www.parismatch.com/Culture/Spectacles/Germain-Louvet-le-petit-prince-de-l-Opera-1549511

https://www.operadeparis.fr/artistes/germain-louvet

https://danseclassique.info/personnes/germain-louvet/

https://twitter.com/germainlouvet?lang=fr

                          Pablo Pillaud Vivien et Germain Louvet. source instagram 2020

Casual morning of love - je rigole, trop pas en vrai, on est méga pimpés, j’ai des fourmis dans les jambes et ma tête ne repose sur rien donc je suis en tension de la mort (et au fond, je sais que ça se voit)

 source photo TÊTU Magazine @tetumag @theonlyromain3000  Photographe Arthur Delloye @arthur_delloye Styliste Noemie Beltran @noemiebeltran
Directeur créatif @nataniel.nmrobert @vaadigm Studio @royalcheesestudio
Make up Helena Henrion @helenahenrion Hair stylist Camille Arnaud @cami.arnaud

https://www.instagram.com/pablopillaudvivien/?hl=fr

Danseur Paul Marque

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Le premier danseur de l'Opéra de Paris fait son baptême du Lac des cygnes. À 21 ans, il a déjà tout d'un grand. Cliquez sur la photo

5. Quentin Bruno; French, Singer, Dancer, Actor, model.

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Opéra de Tours saison 2021/2022

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école de danse de l'opéra de Paris

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L'école atelier Rudra Béjart

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Maurice Béjart, béjart ballet Lausanne

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Défilé du corps de ballet de l'Opéra de Paris 2014. Les élèves de l'opéra national de Paris, les étoiles, ,premiers danseurs, Cliquez sur la photo, lien vers la vidéo

Julien BENHAMOU, sublime le corps du danseur

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Questions sur la pratique de la danse classique

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Daniil Simkin Simkin and the City

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Act IV: Basilio's Variation" de Spassov, Boris. Cliquez sur la photo