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ART, DANSE,CULTURE
- Georges RATINEAU.
- 37000 Tours, Centre Val-de-Loire, France
- Art, Danse, Culture...
jeudi 25 avril 2024
Festival de danse Tours D'horizons du 29 mai 2024 au 15 juin 2024 avec le centre chorégraphique national de Tours. direction Thomas Lebrun
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lundi 22 avril 2024
Danse : Sur pointes, la vie rêvée d'Audrey Hepburn, La compagnie François Mauduit présente une originale évocation chorégraphique inspirée de l’actrice Audrey Hepburn.
"Montrer que la création, en danse, n'est pas réservée qu'à l'univers contemporain": avec son ballet "Dans les yeux d'Audrey", présenté mardi à Paris, le chorégraphe François Mauduit, ex-soliste de Maurice Béjart, imagine, sur pointes, le côté "paillettes" mais aussi le versant intime de la vie d'Audrey Hepburn.
Le danseur de 40 ans, à la tête depuis 18 ans d'une compagnie de danse néo-classique qui porte son nom, avait envie de combiner le côté lumineux et inspirant de l'icône, de la star de cinéma avec sa vie intime et son rêve de devenir ballerine aussi, confie-t-il à l'AFP.
Dérouler quelque 60 ans (l'actrice vécut de 1929 à 1993) d'une
existence, pour un chorégraphe, comme pour les danseurs, c'est
passionnant. Ça permet de travailler nombre d'époques et de styles différents,
sur des musiques allant de Leonard Bernstein à Léo Ferré, dit-il.
Suite de l’article cliquez sur le lien
https://www.theatrechampselysees.fr/saison-2023-2024/danse/compagnie-francois-mauduit
DISTRIBUTION
Dans les yeux d’Audrey (2022)
Ballet pour 20 danseurs librement inspiré de la vie d’Audrey Hepburn
François Mauduit | chorégraphie et mise en scène
Caroline Ami | biographe
Luc Ledieu | décors
Marie Maret | costumes
Anthony Le Fur, Marion Pageaud | lumières
Solistes
Haruga Ariga, Lorenzo Bernardi, Francesco Cafforio, Paul Delanoë, Louise
Djabri, Nicola Lazzaro, Géraldine Lucas, Shiori Matsushima, Capucine
Ogonowski, Vittoria Pellegrino, Nelly Soulages
TEL : +33 1 49 52 50 50
MAIL : contact@theatrechampselysees.fr
jeudi 18 avril 2024
Société, la culture attaquée , la mairie de paris s'attaque à la culture, en faisant retirer des affiches pour la promotion d'un livre, "livre écrit par des écrivaines.
Dans notre société aujourd'hui tout doit être lisse, pas un mot qui sorte des clous, sinon la guillotine tombe.
Liberté, ce mot qui est inscrit aux frontons de nos mairies, devient il juste un mot qui se vide de sa propre liberté.
la mairie de Paris deviendrait elle un haut lieu de la censure culturelle, pour qui s'oppose à leur idéologie… Le mot liberté se couvre de noir à Paris.
Même les écrivains ,écrivaines, doivent bien
choisir leurs mots, sinon les censeurs dégainent : liste non exhaustive, homophobe, raciste,
antisémite, xénophobe, islamophobe, transphobe, et bien d'autres.
Voici un exemple de la censure, cette affiche a été retirée des panneaux JC Decaux à Paris, elle serait transphobe. Livre écrit par des écrivaines, sur le sujet trans.
Affiche retirée sans aucun jugement des tribunaux, la mairie de Paris met en place une censure politique et idéologique.
Je ne vois pas de transphobie dans
cette affiche. La censure de la ville de Paris, et du milieu des associations
trans, est une aberration. Le retrait de l'affiche donne raison aux
écrivaines sur la main mise, et l'infiltration dans les sphères de la société
d'une certaine idéologie trans. Il y a eu la censure des religieux, maintenant
celles des mouvements LGBTI+. La mairie de Paris en demandant le retrait de
cette pub pour un livre, s'attaque à la liberté d'expression et à la
culture.
Les rappeurs aussi subissent la censure , voir des interdictions, pour leurs paroles, qui seraient hors des clous, certes ils appuient là ou cela fait mal aux oreilles, leur messages est souvent subliminale. Ils disent ce qu'ils ne faut pas dire. Il faut se méfier du silence que voudrait notre société, il est plus dangereux que les paroles, le passage à l'acte lui se fait dans le silence, il est le vrai danger. Ecouter ce qui nous dérange, permet de répondre, on ne peut répondre au silence de l'acte.
En France la liberté d'expression
se réduit comme neige au soleil, notre société est sous influence des minorités
qui imposent leur dicta au plus grand nombre. Les politiques sont des
prestidigitateurs, un coup à droite un coup à gauche, ils, censurent, attaquent, pour faire plaisir à leur électorat.
La liberté d'expression, est-elle
menacée en France. Meeting interdit, réunion de certains partis politiques
interdits…. Les censeurs qu'ils soient politiques, associatifs, religieux. Ils ont toujours le même objectif interdire de dire, interdire la critique,
de dénoncer, de montrer, d'informer, de débattre librement, de s'opposer… la
liberté d’expression, que les censeurs, ou les oppositions veulent muselée.,
souvent pour préserver leur idéologie, et maintenir ainsi une seule source
d'information, sans oppositions ou critiques, ou remise en cause de leur
vérité…
Comment dans notre société écrire,
un roman, écrire le synopsis d'un film, choisir les acteurs et actrices ! le
wokisme qui complète le morcellement de nos libertés, les réduits sous couvert
parfois de l'inclusion des minorités…Dans quelle France vivons-nous
aujourd'hui, celle des bien-pensants des censeurs. la culture est menacée par
des individus qui place leur idéologie au-dessus de la liberté.
La liberté d'expression dans les médias, les journalistes, et les chaines d'informations sont sous le contrôle de l'ARCOM, et des politiques revanchards comme la France insoumise, CNews est dans l'œil du cyclone des politiques, qui n'aiment pas cette chaine, pour remettre en cause l'autorisation d'émettre de CNews. A suivre
Un autre regard sur le monde, défend la liberté d'expression, le contenu du livre, vous l'aimez ou alors le détester Dire les choses , choque parfois, il faut accepter la critique, aucun milieu est tout blanc, le milieu Trans comme les autres. Mettre sur le devant de la scène ce sujet pour informer le public, en dehors du milieu LGBTI+ . A vous de garder un esprit ouvert, sur le contenu livre, afin de vous faire, votre propre opinion sur le sujet.
Une chose apparait déjà, les soutiens seraient de droite, la critique de Gauche, voilà le climat pour un livre qui ose dire les choses. Droite ,Gauche on s'en fou, on à le droit de mettre en pleine lumière ce sujet tabou,, sans tomber dans un retranchement idéologique. Traiter les gens qui seraient pour le livre de "transphobe" c'est un peu facile pour ne pas dire plus , pour éviter le débat et la critique.
Un autre regard sur le monde
photo, le danseur dans l'œil de l'objectif ,jeu de lumière et du corps
le collant moulant , simple tissus, qui recouvre une partie du corps du danseur, lui donne cette légèreté, cette grâce, ces formes sont mises à nues, il s'expose comme une œuvre d'art, un tableau érotique.
vendredi 5 avril 2024
Quand un garçon déteste le foot et aime passionnément la danse… Dans cette création familiale et ultra vitaminée, Hervé Koubi interroge à nouveau ses origines et son histoire profonde. Pour cela il s’est associé à Fayçal Hamlat, rencontré il y a plus de 10 ans en Algérie et compagnon d’Art depuis, pour travailler ensemble à quatre mains sur leurs ressemblances, leurs différences mais surtout sur ce qui les unit profondément, une passion pour la danse qu’elle soit contemporaine, urbaine en tous cas toujours métissée.
COMPAGNIE HERVÉ KOUBI
Construit sur la base d’un texte de Chantal Thomas, autour d’une partie de foot improbable, terrain de jeu et de danse, Boys don’t cry sert de prétexte à une réflexion à la fois nostalgique, drôle et tendre sur ce que c’est que de danser quand on est un garçon, tout en dessinant en creux la question d’aimer et de jouer au foot quand on est une femme, qui plus est quand on vient d’Afrique du Nord.
Pour ce projet, le chorégraphe franco-algérien offre à sept jeunes danseurs
autodidactes l’occasion de montrer, entre hip-hop, danse de rue et danse
contemporaine, leur virtuosité. Sur le plateau ils nous emportent dans leur
énergie débridée, à la fois puissants et délicats, déconstruisant les clichés
de la masculinité.
Formé à « l’Ecole de la danse», notamment chez Rosella Hightower, Hervé Koubi débute sa carrière d’interprète dans des pièces de Jean-Christophe Paré et d’Emilio Calcagno.
Danseur ensuite au
Centre Chorégraphique National de Nantes Claude Brumachon et Benjamin Lamarche
puis au Centre Chorégraphique National de Caen avec Karine Saporta et dans la
Compagnie Thor à Bruxelles avec Thierry Smits c’est en 2000 qu’il décide de développer
son projet chorégraphique.
C’est d’abord la Tradition, et toute la transmission orale et corporelle
qu’elle porte en elle, qui captera son intérêt. Une danse qui rassemble, qui
unit, qui fait les liens entre les bals d’autrefois, les raves parties et les
rassemblements dansés d’aujourd’hui.
Ce sont ensuite
des notions de traces, de mémoires, de filiations qui le conduiront notamment
en Algérie, à la recherche de ses racines.
C’est ainsi qu’en
2009, l’homme et son parcours artistiques ont été percutés par les danses
urbaines même si elles étaient déjà présentes, comme un écho avant-coureur, dès
ses premières créations.
Il envisage depuis
la porosité des techniques entre elles comme un espace d’expérimentation qui
dépasserait les cadres et les appartenances techniques et esthétiques.
Depuis 2017 il collabore sur l’ensemble de ses créations avec Fayçal Hamlat,
danseur et chorégraphe avec qui il partage une vision commune.
Fayçal Hamlat,
danseur et chorégraphe issu des danses urbaines rencontré lorsqu’il était
chorégraphe officiel du Ballet National d’Alger, a d’abord été danseur pour
Hervé Koubi puis est devenu son assistant.
Alors qu’Hervé
Koubi a été percuté par la danse Hip-Hop, Fayçal Hamlat a fait le chemin
inverse, influencé et nourri à son tour par la danse contemporaine.
Fayçal Hamlat apporte depuis sa contribution et est devenu aujourd’hui le
collaborateur nécessaire d’Hervé Koubi pour affirmer une écriture métissée.
Chorégraphe de
terrain c’est aussi dans la rencontre et le partage entre ses œuvres, les
publics et les différentes pratiques qu’il développe avec son équipe de
nombreux projets de territoires qui interrogent et définissent les frontières
en creux d’un Ballet du XXIème siècle à la fois héritier de son histoire,
ouvert et actuel.
Il a été décoré en juillet 2015 de l’ordre de Chevalier des Arts et des
Lettres.
vendredi 22 mars 2024
Mort de Frédéric Mitterrand : L’ancien ministre de la culture de Nicolas Sarkozy s’est éteint à l’âge de 76 ans.
Un homme de culture, passionné de cinéma art est essai, écrivain, romancier, un homme brillant, à l’humour à la Jean Claude Brialy.
Une voix reconnaissable
par le timbre si particulier.
Le cinéma était
pour lui essentiel à sa culture, le cinéma a été le moteur de sa carrière
culturelle et intellectuelle . Homme de culture, au grand cœur, il aimait les
gens, sensible, il savait aussi se faire mordant . Il parlait
comme il écrivait, la sincérité au fond du cœur.
On n’entendra plus
son fameux « Bonsoir »
Bonsoir Monsieur
Frédéric Mitterrand, vous rejoignez Malraux au ciel de la culture, nous vous
verrons toujours de la haut sur grand écran.
Art Danse Culture
jeudi 21 mars 2024
exposition LE MONDE COMME IL VA, collection Pinault à la bourse de commerce . Paris
Exclusivement constituée d’œuvres de la Collection Pinault, dont elle souligne l’étendue, la vitalité et la diversité, l’exposition « Le monde comme il va » se déploie dans tous les espaces de la Bourse de Commerce, à partir du 20 mars 2024. Réunissant une vaste sélection de pièces principalement réalisées entre les années 1980 et aujourd’hui, dont la moitié est exposée pour la première fois par Pinault Collection, elle met en lumière la passion et l’engagement de François Pinault pour un art contemporain en prise directe avec notre époque.
Empruntant son titre à un conte philosophique de Voltaire, cette nouvelle
exposition de la Collection Pinault révèle « la conscience aiguë du présent »
chez les artistes, selon son commissaire Jean-Marie Gallais. Des figures
établies (Maurizio Cattelan, Damien Hirst, Jeff Koons, Cindy Sherman,
Sturtevant, Rosemarie Trockel…) à une génération d’artistes plus jeune (Anne
Imhof, Mohammed Sami, Pol Taburet, Salman Toor…), les choix de François
Pinault, collectionneur, ont toujours reflété cette passion pour un art en
phase avec son temps, qu’il soit engagé ou simplement observateur, provocateur
ou plus sombre. Face aux excès et aux paradoxes du monde, mais aussi confrontés
aux troubles de l’époque et à un sentiment de perte des repères, les artistes
se font prophètes, visionnaires, philosophes, parfois cyniques et ironiques,
souvent poètes et ré-enchanteurs.
Tout comme le personnage principal du conte — un observateur envoyé pour
tenter de comprendre l’humanité —, le visiteur est confronté à une vision
ambivalente, oscillant entre faiblesses et vigueurs d’un monde qui semble se
laisser aller vers sa perte, mais qui conserve espoirs et grâces. Les artistes
présentés dans « Le monde comme il va » produisent de puissantes images, tantôt
ironiques, tantôt violentes, de cette situation paradoxale, et deux générations
d’oeuvres dialoguent à parts égales dans le parcours : celles réalisées dans le
contexte des décennies 1980-1990, et celles réalisées à partir des années 2000.
En lien avec l’exposition, la carte blanche donnée à Kimsooja dans la Rotonde du musée, intervention à la fois monumentale et sensible, renverse toute l’architecture de la Bourse de Commerce et, avec elle, l’ordre du monde à travers un immense miroir circulaire, posé au sol. L’invisibilité du matériau, qui ne fait que refléter le réel environnant, invite chacun à prendre conscience qu’il est acteur de ce récit qui se poursuit jusque dans les vitrines et le niveau inférieur du musée.
Vue de l’exposition « Le monde comme il va », Bourse de Commerce – Pinault Collection, Paris, 2024. © Tadao Ando Architect & Associates, Niney et Marca Architectes, agence Pierre-Antoine Gatier. Photo : Florent Michel / 11h45 / Pinault Collection.
« Le monde comme il va » compose un flux d’images saisies dans les mouvements du monde passé et présent, qui résonne avec l’esprit de la Collection Pinault depuis plus de cinquante ans.
« C’est la complexité des oeuvres, leur capacité à refléter le réel ou
au contraire à le mettre en abyme, à résonner en harmonie ou avec ironie avec
le passé ou le présent, le flux des images davantage que leur unicité, qui
irriguent la Collection Pinault depuis cinquante ans. Si l’historien Krzysztof
Pomian dans son magistral récit Le musée, une histoire mondiale (2020),
souligne combien les musées orientent le regard de la société vers l’avenir,
l’accrochage orchestré par Jean-Marie Gallais sonde la Collection pour proposer
une vision à la fois kaléidoscopique et instable du présent. » Emma
Lavigne
Commissariat : Jean-Marie Gallais, conservateur, Pinault Collection
Scénographie : Cécile Degos
Ouverture du lundi au dimanche de 11h à 19h Fermeture le mardi
Nocturne jusqu’à 21h le vendredi ,2 rue de Viarmes,
75001 Paris
https://www.pinaultcollection.com/fr/boursedecommerce
https://billetterie.pinaultcollection.com/content
https://www.pinaultcollection.com/fr/boursedecommerce/une-nouvelle-
dimanche 17 mars 2024
AUDITIONS / BORDEAUX SPORT-ETUDES-DANSE FORMATION SUPERIEURE DU DANSEUR PROFESSIONNEL CURSUS CLASSIQUE & CURSUS CONTEMPORAIN
De la 6ème à la Terminale avec possibilités d'internat.
Les auditions, pour la prochaine rentrée scolaire de septembre (2024/2025)
des cursus « Sport-Études-Danse-Classique » (audition pour des enfants de 9 à
14 ans) et « Sport-Études-Danse-Contemporaine » (audition pour des adolescents
de 14 à 18 ans), sont ouvertes !
Depuis 2011 l'Académie de Danse Vanessa Feuillatte vous propose des cursus
Sport-Études-Danse (14 heures de danse par semaine) en partenariat avec le
réputé groupe scolaire Assomption Sainte Clotilde Bordeaux ainsi que l'ensemble
scolaire Le Mirail (collège et lycée du matin).
LE CURSUS
Sport-Études Danse
CŒUR BATTANT DE L'ACADÉMIE DE DANSE VANESSA FEUILLATTE
C’est dans une volonté sincère de transmission de sa passion et de son
expérience, et afin de soutenir la démocratisation de la danse, que Vanessa
Feuillatte, Première Danseuse du Ballet de l’Opéra National de Bordeaux, a
fondé son Académie de Danse.
Aujourd’hui forte de ses douze années d’existence, d’une équipe pédagogique
professionnelle d’exception et de quatre studios situés en plein centre de la
Métropole, l’Académie de Danse Vanessa Feuillatte porte avec fierté son cursus
Sport-Études Danse, véritable cœur battant du projet de sa fondatrice et
directrice artistique.
Sport-Études Danse est un cursus d’enseignement intensif de la danse,
destiné aux élèves de la 6° à la Terminale. Accessible pour tous les enfants
résidants à Bordeaux et son agglomération, le cursus l’est également pour tout
élève venant de France et de l’étranger, ce grâce à la mise en place d'un
dispositif d’hébergement (internat & familles d'accueil). Si vous souhaitez
devenir famille d'accueil pour un étudiant du cursus, n'hésitez pas à contacter
le secrétariat de l'Académie.
lundi 11 mars 2024
Oscars 2024 : le triomphe d'"Oppenheimer", "Anatomie d'une chute" primé, le show de Ryan Gosling... Ce qu'il faut retenir de la 96e cérémonie
Le film de Christopher Nolan repart avec sept statuettes dont celle du meilleur film et de la meilleure réalisation. Justine Triet et son compagnon Arthur Harari ont été primés pour le scénario d'"Anatomie d'une chute".
Suite de l’article
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jeudi 29 février 2024
Danse, Roméo et Juliet au Chatelet paris, de William Shakespeare, sur une musique de Prokofiev
De William Shakespeare, composé par Sergueï Prokofiev, chorégraphie et mise en scène Matthew Bourne. Avec Paris Fitzpatrick ou Andrew Monaghan, Monique Jonas ou Bryony Pennington, Danny Reubens ou Richard Winsor.
Lieu : Théâtre du Châtelet, Paris 1er
Date de début : 9 mars 2024
Date de fin : 28 mars 2024
information et réservation cliquez sur les liens
https://www.offi.fr/theatre/theatre-du-chatelet-1801/matthew-bournes-romeo-and-juliet-92697.html
LES NOCTURNES DANSE "MARK ROTHK...Fondation Louis Vuitton
Marie-Agnès
Gillot reprend un extrait de la pièce « Black
over red » chorégraphiée par Carolyn Carlson trouvant son
inspiration dans l’art de Rothko tandis que la danseuse et chorégraphe Marion
Motin, avec une création inédite, ose un retour à la matière, à la lumière.
Quant à Germain Louvet, il se confronte pour la première fois à la danse de
l’américaine Lucinda Childs avec une variation de « Dance »,
chef d’œuvre absolu sur la partition de Philip Glass. Enfin, en contre-point,
Carolyn Carlson dévoile un film dansé, capté dans les espaces de la Fondation
pour l’occasion. À chacun des visiteurs de vivre à son rythme ces instants
particuliers sous le signe de Mark Rothko et de la danse.
Horaires 19h - 23h
source article et photo fondation Louis Vuitton, suite de l'article cliquez sur les liens
https://www.fondationlouisvuitton.fr/fr/evenements/les-nocturnes-danse-mark-rothko
https://www.fondationlouisvuitton.fr/fr/evenements/nocturne-05-mark-rothko
dimanche 25 février 2024
concours international de danse classique de Deauville
lien cliquez vers le site de la compagnie
samedi 24 février 2024
Art Urbain: Amis passionnés d’art urbain, dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, Le M.U.R. Tours a le plaisir de vous convier, Passage du pèlerin, 37000 Tours, à la performance de...
ROUGE HARTLEY
du jeu. 29 fév. au dim. 3 mars
ainsi qu'au vernissage de son œuvre,
vendredi 8 mars à 18:00
En 2014, Rouge choisit un nom qu’elle
souhaite proche de son travail de rue : commun, appropriable, multiple.
Il y a dans la pratique de Rouge l’idée qu’une image, c’est précieux, et qu’en
fabriquer une de qualité, c’est à dire épaisse en narration, en générosité
picturale et en poésie, c’est une fête rare à laquelle elle aime à consacrer du
temps, et dont la conception se forge dans le contact et l’exploration de ses
alentours.
Le mur, le quartier, comme la toile et le papier lui offrent l’occasion de figurations
jamais symboliques mais toujours narratives. Ses compositions proposent une
tension vers le manifeste, la fable ou le poème, avec une attention au cadrage,
et toujours animées par le plaisir de peindre en lui-même.
Attachée au dessin et à la peinture, elle trouve sur les murs des villes un droit à la figuration et à l’engagement. Ses principales recherches sont axées sur les enjeux de valeurs et de propriétés dans l’espace public, le milieu urbain et ses précarités, et le féminisme.
Pour en savoir plus sur Rouge
Hartley
https://www.facebook.com/people/Le-MUR-TOURS/100064855144164/
https://www.instagram.com/murtours/
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vendredi 23 février 2024
Cinéma, Avant les César 2024, « Anatomie d’une chute » de Justine Triet a déjà gagné de (très) nombreux trophées
Le film avec Sandra Hüller a reçu onze nominations aux César 2024. « Anatomie d’une chute » connaît une trajectoire fulgurante, en France comme à l’étranger.
jeudi 22 février 2024
Danseurs: Gay in Ballet : deux hommes défient les traditions du monde de la danse
Défier les traditions dans le monde de la danse
(EN HAUT) : PARKER KIT HILL (EN BAS) : JAMES WHITESIDE
James Whiteside, 32 ans, a réalisé le rêve de sa vie. En
2013, moins d'un an après avoir déménagé à New York pour rejoindre l'American
Ballet Theatre (ABT) en tant que soliste, le natif du Connecticut a été promu
danseur principal, un poste très prestigieux qu'il occupe depuis. Parker
Kit Hill, 21 ans, a acquis une renommée rare pour son âge. Élevé à Fort
Worth, au Texas, il est une quadruple menace digne du buzz, capable de chanter,
de danser, de jouer et d'utiliser le monde vital des médias sociaux, qui ont
diffusé son art de la performance queer et décalé à travers le monde et lui ont
valu tout, des castings télévisés. à des entretiens avec le Huffington
Post et Paper. Mais les deux hommes ont fait face à l’adversité
au milieu de leurs succès, en particulier dans le monde raréfié du
ballet. Whiteside, sans doute l’un des danseurs les plus reconnus au
monde, et Hill, un étudiant en danse encore en train de trouver sa voie
professionnelle, ont vécu des parcours très différents. Ce qui les relie,
c'est leur art et leur queerness, deux choses qui n'ont pas toujours retenu
l'attention des autres.
Malgré tout son apparat, sa délicatesse et ses éléments ostensiblement favorables aux homosexuels, le ballet - que ce soit dans le cadre de l'ABT ou de la Joffrey Ballet School, que fréquente Hill - peut également être un microcosme lié à la tradition des oppressions du monde au sens large. Entre les murs en miroir des studios de danse, Whiteside a fait face à des pressions implicites et explicites pour atténuer sa flamboyance, tandis que Hill a été ouvertement ostracisé pour sa noirceur et pour ne pas se conformer aux normes dites masculines. Raison de plus pour laquelle les deux hommes ont été poussés à ne pas se conformer. Tout en interprétant des œuvres classiques, Whiteside a également bouleversé l'image classique du danseur impeccable, rendant ses activités extrascolaires - drag, rap, mode, fumer du pot - facilement visibles aux yeux de tous. De retour à Joffrey avec une bourse complète après une pause bien méritée, Hill équilibre ses cours de danse tout en réservant des emplois d'acteur tout en continuant à divertir ses disciples – avec des perruques et du maquillage s'il en a envie. Alors que Whiteside se prépare pour la saison printanière d'ABT et que Hill se prépare pour un rôle dans la nouvelle saison de Broad City , tous deux s'assoient pour partager les pressions et les triomphes de leur métier.
Danseurs: PARKER KIT HILL : JAMES WHITESIDE
OUT : Pouvez-vous décrire un cas où vous avez été confronté à une discrimination dans le ballet ?
Whiteside : Habituellement, quand les gens sont haineux,
ils ne viennent pas vers moi et ne me disent pas : « Je te déteste à cause de
ça ». Mais il y a cet écrivain pour ce genre de blog de ballet très suivi
– et je ne veux même pas prononcer le nom pour donner à cette personne une
quelconque notoriété – qui, de manière anonyme, prend un grand plaisir à faire
honte à tout ce que je fais. Au fond, c’est un regard incroyablement
homophobe sur quelque chose qui devrait être célébré. Et cela est bien loin
de ma simple danse avec ABT. Je ne l'ai pas lu depuis des lustres, mais
les gens viennent toujours vers moi et me disent : « Avez-vous entendu parler
de cette chose ? Cette personne dit cela à votre sujet et vous devriez
envisager de poursuivre en justice pour diffamation – engager une action en
justice ! Et je n’ai tout simplement pas eu le temps ni l’attention parce
que c’est tellement absurde. Ce qui est vraiment intéressant chez la
plupart des personnes homophobes, c'est qu'elles sont trop lâches pour être
ouvertement homophobes. Alors ils en parlent avec d’autres homophobes et
créent ce petit monde d’homophobie dans lequel ils peuvent vivre
confortablement.
De quelles manières enfreignez-vous les règles du ballet ?
Whiteside : Je ne cherche pas à être le rebelle du ballet. J'ai l'impression que c'est un truc très fatigué. J'essaie juste d'utiliser mon cerveau et de créer au mieux de mes capacités. Et j'apprécie vraiment les autres activités auxquelles je participe, la création de nouvelles œuvres, la participation au travail des autres, être une drag queen, être écrivain, rappeur, chanteur et chorégraphe. Toutes ces choses sont très importantes pour moi et c'est une belle rupture avec le classicisme d'ABT, que j'aime aussi. J'ai vraiment l'impression d'avoir quelque chose à prouver avec mon homosexualité et mon volume. Il est difficile de qualifier une chose de la plus extrême, car chaque chose a sa propre version de l'extrême. Je fume de l'herbe dans une vidéo que j'ai réalisée ; dans « Piece of Me », je parle de Britney Spears et de ma vie à New York. Et il y a tellement d'homosexualité dans les Dairy Queens, le groupe de drag dont je fais partie. Vous pouvez voir tout cela sur Internet. Je comprends à quel point un patron de ballet conservateur serait bouleversé en découvrant que je suis si ouvertement homosexuel. Mais ce n’est pas mon problème et cela ne va certainement pas me faire agir différemment. Ma vie en dehors de mes rôles n'a rien à voir avec mes rôles. Cela ne peut que les enrichir en me donnant plus de recul.
Hill : La compagnie de ballet avec laquelle j'ai dansé au Texas m'a dit que je devais changer de coiffure. Parce qu'ils ne voulaient pas que j'aie un air trop ethnique sur scène. Parce que j'avais des cornrows. Dans la culture noire, avoir des cornrows est très soigné – c'est joli. Mais en ballet, non. Ils ne veulent pas que nous soyons comme ça. Même maintenant, on me dit toujours que je dois être rasé de près et que mes cheveux doivent être parfaitement afro, ce qui n'est pas ainsi que je les porte habituellement. La boucle de mes cheveux est telle qu'il est malsain de les porter tout le temps en afro : je dois les arracher et je perds mes cheveux à chaque fois que je les peigne. Mes cheveux sont généralement simplement déconstruits et fous – c'est naturel pour moi. Je l'ai dit à mes directeurs, mais ils s'en moquent. Ils se concentrent simplement sur le fait que ça a l'air « sympa ».
Avez-vous ressenti de la discrimination parmi vos pairs de
différentes manières ?
Whiteside : Je trouve que, parfois, les danseurs de
ballet hétérosexuels peuvent surcompenser le fait qu'ils font du ballet pour
gagner leur vie. Et même si je ne sais pas si l'un d'entre eux est
effectivement homophobe, je vois clairement la peur de paraître gay chez
beaucoup de gens, au lieu de simplement exister et d'être à l'aise dans leur
sexualité. Et c'est une généralisation, et bien sûr cela ne concerne pas
tout le monde, mais je le vois néanmoins. Et encore une fois, pour en
revenir à la lâcheté de l'homophobie, personne ne s'est jamais approché de moi
en ma compagnie et m'a dit, vous savez, "Tu vas brûler, pédé
!" Cela n'arrive pas. Peut-être que c'était le cas dans les
années 70. Je ne sais pas. Et si cela se produisait, je sais qu’il y
aurait une armée de soutien derrière moi et que cette personne serait
licenciée.
Hill : Je suis allée danser avec un des professeurs qui enseignaient à Alvin Ailey, qui est une école très noire. Ils savaient comment donner une belle apparence aux danseurs noirs et comment faire en sorte que tout le monde se sente accepté. Ce professeur enseignait également à Joffrey, donc chaque fois que j'avais ce cours, je faisais comprendre que j'étais là et j'écoutais vraiment ce qu'il me disait. Et beaucoup de gens détestaient sa classe parce qu’il était le seul professeur noir que nous avions. Il enseignait un style de danse moderne qui était vraiment rafraîchissant, mais qui ne plaisait pas aux gens. Et même s'il serait incroyable, tous les rôles que j'obtiendrais chez Joffrey ne m'étaient, dans un sens, pas confiés, et je n'ai jamais été choisi pour jouer le rôle principal parce que j'étais noir. Je sais que. Je suis tout à fait capable de faire les choses que font tous ces autres hommes, mais je sais juste que je serai toujours négligé parce que je ne suis pas la figure masculine idéale pour le ballet. Je suis un homme mais je ne suis pas le bon homme. Et être gay ajoute une autre couche à cela. Je dois supprimer cette homosexualité dans une certaine mesure pour être un homme fort sur scène.
Hill : Quand le directeur de la série au Texas m'a dit que je devrais me défaire les cheveux, j'étais confus mais je l'ai fait. J'avais peut-être 14 ou 15 ans. Je n'y ai pas vraiment réfléchi, mais quand je suis rentré à la maison, ma mère m'a dit : « Qu'est-ce que tu fais ? Je lui ai raconté ce qui s'était passé et elle s'est immédiatement énervée. Elle m'a dit : "Tu ne devrais pas avoir à faire ça à tes cheveux, tu devrais pouvoir continuer comme ça. Ce n'est pas bien. Je ne veux pas que tu aies l'impression que tu dois faire ces choses automatiquement. ... Vous auriez dû y résister et leur dire non, sinon vous ne seriez pas dans la série. J'aurais pu le faire mais je ne l'ai pas fait. Quoi qu'il en soit, je suis content qu'elle l'ait dit.
Whiteside : Une mère m'a envoyé un message à propos de
son fils, et elle disait en gros que son fils est un de mes grands fans et
qu'il est un jeune danseur et qu'il a toujours été très flamboyant et efféminé
et fabuleusement gay depuis son plus jeune âge. Elle a dit qu'elle
appréciait vraiment l'humour et l'ouverture d'esprit avec lesquels je me
présentais et j'ai trouvé cela vraiment magnifique - cet enfant n'est pas
seulement inspiré par ce que je fais, mais la mère y voit aussi un espoir pour
un fils qui peut-être est victime d'intimidation à l'école parce qu'il est
efféminé. Le simple fait de voir quelqu'un comme moi qui a essentiellement
réussi pourrait l'aider. Cela m’a vraiment touché et j’ai trouvé que
c’était magnifique qu’elle prenne le temps de me le faire savoir.
Hill : Je suis parti. C'était juste une accumulation de tout : ma vie personnelle, ma vie sur les réseaux sociaux, puis le monde du ballet. Tout est arrivé à un point d'ébullition et si j'avais continué sur le même chemin, je ne sais pas où je serais, car je me sentais presque devenir fou. Et quand je m'en suis éloigné, je savais qu'ils iraient bien parce qu'ils avaient toujours leurs danseurs blancs. J'avais l'impression que partir n'était pas leur problème. J’avais l’impression que tout ce qui leur manquerait, c’était le facteur divertissement. J'ai apporté davantage de divertissement parce que je n'étais pas le genre de danseur normal que l'on voit sur scène. Mais je savais aussi que ça allait être difficile pour eux de trouver une autre personne de couleur. Et quand j'ai quitté mon école, ils m'ont contacté et m'ont dit : "Nous voulons vraiment que tu reviennes." J'ai dit que la seule façon pour moi de revenir était d'obtenir une bourse plus importante et d'être mieux traité, et ils ont accepté cela. Ce qui est un peu fou : je bénéficie désormais d’une bourse complète. Ma réalisatrice et moi entretenons également une relation très étroite, et elle comprend maintenant que je gagne de l'argent grâce à mes réseaux sociaux et que cela doit aussi faire partie de ma vie.
Hill : Mon école m'a en fait dit
: « Nous voulons vraiment que vous soyez ici et nous nous soucions
vraiment de vous. » Ils ont dit qu’ils avaient enfin l’impression de
se réveiller et de grandir, et qu’ils étaient plus compréhensifs. Et il y
a plus d'acceptation. Mon réalisateur m'a dit : "Je vous confie
davantage de rôles, et je fais des rôles plus importants pour vous parce que
j'ai l'impression que vous avez le potentiel pour le faire." J'ai dit
: "Eh bien, merci." Dans mon école au moins, j'ai l'impression
qu'ils acceptent soudainement plus la couleur de ma peau et aussi que je sois
plutôt flamboyant. J'ai l'impression qu'ils dépassent cela et me voient
comme un danseur.
Whiteside : Il est impossible que
le travail queer ne s'infiltre pas dans le ballet classique. Il s’agit
parfois de petits pas. Il y a deux ans, nous avons monté une production de
< Othello > de Lar Lubovitch, un chorégraphe de ballet moderne
contemporain bien connu. Dans la série, je joue Iago, et il y a eu
beaucoup de spéculations sur la sexualité de Iago. J'ai passé un très bon
moment à jouer ce rôle car, même s'il y a des moments où il est très clair que
mon intérêt réside dans une femme, il y a encore des moments où j'interagis
avec Othello et je peux explorer mes nuances homosexuelles et mes désirs
profonds. Et il y a de très beaux moments dans ce travail. Mais il
existe des chorégraphes queer qui repoussent les limites beaucoup plus loin en
ce qui concerne les relations entre partenaires masculins et féminins
représentées dans la danse. Un de ces jours, je vais faire un pas de deux
super gay avec un homme et je vais vivre ma vie.
Photographie : David-Simon
Dayan
Assistant photo : Landon Yost
Photographié à l'American Ballet Theatre, New York, NY
source article: lien
Source photos site out.com
https://www.out.com/theater-dance/2017/3/28/gallery-james-whiteside-parker-kit-hill
mercredi 21 février 2024
Danseur, Tomasso Spadaccino
Danseur Tomasso Spadaccino
RÉSULTATS DES DANSEURS
À l’issue du concours de danse, 28 candidats ont été retenus pour la variation imposée et la séance de travail : Benjamin Adnet, Samuel Akins, Jaime Almaraz Baizan, Damen Axtens, Samuele Barzaghi, Baptiste Beniere, Nicolas Doaré, Corentin Dournes, Manuel Giovani, Matéo Gouze, Aurélien Hoguet, François Leblanc, Junsu Lee, Myeonghyun Lee, Lorenzo Lelli, Micah Levine, Mei Matsunaga, Ryosuke Miwa, Isaac Petit, Stanislas Prieto, Léon Rambaud, Tristan Savatie, Santiago Sales Manzanera, Rémi Singer-Gassner, Tommaso Spadaccino, Vincent Vivet, Matt Vuaflart et Édouard Wormser.
Tous ces candidats sont susceptibles de ce voir proposer un CDD au cours de la saison prochaine
Les 30 juin, 4 et 6 juillet 2023 se sont tenus les Concours de
recrutement interne et externe du Corps de Ballet de l’Opéra national de Paris.
Dix postes de danseurs ont été pourvus à l'issue d'épreuves composées d'un
cours éliminatoire et d'une variation imposée.
Résultats du Concours de recrutement externe
Le Concours de recrutement externe
était ouvert aux élèves de Première Division de l’École de Danse de l'Opéra,
aux danseurs actuellement en contrat à durée déterminée à l’Opéra de Paris
ainsi qu’aux danseurs extérieurs. À l’issue des épreuves des 4 et 6 juillet
2023, ont été engagés à partir du 28 août 2023 :
Quadrilles Femmes : Elizabeth Partington Luciana Sagioro
Quadrilles Hommes : Remi Singer-Gassner, Lorenzo Lelli, Micah Levine, Manuel Giovani
https://www.operadeparis.fr/actualites/resultats-des-concours-de-recrutement-du-ballet-2023
le photographe des danseurs et danseuses de l'opéra de Paris, Julien Benhamou, cliquez sur le lien
lundi 19 février 2024
Seule la danse, une année au conservatoire de Paris Une immersion au sein du Conservatoire auprès d’apprentis danseurs. Chaque trimestre, nous vibrons avec eux et découvrons la manière dont ils s’emparent des révolutions actuelles autour du corps, des genres et des représentations ainsi que leurs tentatives de faire bouger les lignes d’une institution exigeante.
Seule la danse, dernière année au
conservatoire
Elles et ils ont 18 ans et entament
leur dernière année de formation "danse " au prestigieux
Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. Il faut
passer le certificat mais aussi décrocher un contrat dans une compagnie. Les auditions
se succèdent. La pression monte, pas droit à l’erreur. Une année tremplin vers
le monde ultra sélectif de la danse.
Bienvenue sur arte.tv !
https://www.arte.tv/fr/videos/RC-023181/seule-la-danse-une-annee-au-conservatoire-de-paris/