ART, DANSE,CULTURE

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Art, Danse, Culture...

ballet opéra de paris 2025 2026 Notre Dame de Paris

ballet opéra de paris  2025 2026   Notre Dame de Paris
Notre Dame de Paris de Rolland Petit

Exposition David Hockney

Exposition David Hockney
Exposition DAVID HOCKNEY 25 Jusqu'au 31 août 2025 Profitez de l'été pour découvrir ou redécouvrir l'exposition ! La Fondation a invité David Hockney, l’un des artistes les plus influents des XXᵉ et XXIᵉ siècles, à investir l’ensemble de ses espaces d’exposition et présente plus de 400 œuvres de 1955 à 2025

Hugo Marchand danse le boléro de Ravel pour les 150 ans du Palais Garnier

Hugo Marchand danse le boléro de Ravel pour les  150 ans du Palais Garnier
Hugo marchand. Dans les coulisses de l'Opéra Garnier. Hugo Un film de Matthew Brookes

Who inspired Hugo Marchand to be a ballet dancer? | ICONIC ...

Who inspired Hugo Marchand to be a ballet dancer? | ICONIC ...
Interview ICONIC de Hugo Marchand ,danseur étoile

Junior compagnie

Junior compagnie
compagnie François Mauduit

le junior ballet de l''opéra de Paris

le junior ballet de l''opéra de Paris
cliquez sur l'image, José Martinez Directeur de la danse. vidéo du junior ballet de l'opéra

Opéra de paris ballet saison 2025 2026

Opéra de paris  ballet  saison  2025  2026
NOTRE DAME DE PARIS de Rolland Petit 2025 2026

The Royal Opera House

The Royal Opera House
saison 2024 2025

New York city ballet saison 2025-2026 représentation en septembre de la saison 2026

New York city ballet saison  2025-2026  représentation en septembre de la saison 2026
LE NEW YORK CITY BALLET EST L'UNE DES PLUS GRANDES COMPAGNIES DE DANSE AU MONDE, AVEC UNE LISTE DE DANSEURS SPECTACULAIRES ET UN RÉPERTOIRE SANS PRÉCÉDENT.

BALLET NATIONAL DE MARSEILLE saison 2024 2025

BALLET NATIONAL DE MARSEILLE saison 2024  2025
One Of Four Periods In Time de Tânia Carvalho

Ballet de Monté Carlo SAISON 2024 2025

Ballet de Monté Carlo SAISON 2024 2025
"Wartime Elegy" d'Alexei Ratmansky ©Angela Sterling

Béjart Ballet Lausanne Saison 2025/2026

Béjart Ballet Lausanne Saison 2025/2026
Nouveau directeur artistique Julien Favreau à partir du 1 septembre 2024

Ballet du capitole Toulouse, 2025 / 2026

Ballet  du capitole Toulouse,  2025 / 2026
Saison 2025 2026 Ballet du capitole Toulouse.

Opéra de LYON saison de danse 2025/ 2026

Opéra de LYON  saison de danse 2025/ 2026
2025 /2026 le Ballet de l’Opéra de Lyon ne cessera de rayonner sur les scènes de France et d’Europe où il donnera notamment certaines pièces maîtresses de son répertoire.

Ballet de l'opéra national de Bordeaux saison 2025 2026

Ballet de l'opéra national de Bordeaux saison 2025 2026
Né en France au siècle de Louis XIV, le ballet se développe à Bordeaux dès le XVIIIe siècle et acquiert depuis lors une dimension prestigieuse et créative. Depuis les années 1990, le Ballet de l'Opéra de Bordeaux a su ouvrir son héritage classique à la modernité au contact de nombreux chorégraphes.- ballet, opéra, musique, théâtre. CLIQUEZ SUR LA PHOTO

Centre chorégraphique national de Tours

Centre chorégraphique national de Tours
la danse en difficulté, par manque de moyen pour la culture et l'art chorégraphique

Hugo Marchand, corps magnétique

Hugo Marchand, corps magnétique
Hugo Marchand Venu au ballet presque par hasard, le danseur étoile Hugo Marchand a su très vite se distinguer par un physique hors norme et un charisme indéniable. Hugo Wintrebert a parlé succès, émotions et blessures avec ce trentenaire qui rêve de briller sur scène aussi longtemps que possible.

Les étoiles au château, association Hugo Marchand pour la Danse. cliquez sur les photos

Les étoiles au château,  association Hugo Marchand pour la Danse. cliquez sur les photos
J’ai à cœur d’envisager la danse comme une passerelle pour créer du lien et de l’émerveillement, convaincu qu’en sortant la danse des théâtres, elle peut être un outil intéressant pour se réapproprier son corps, éduquer, expérimenter le collectif et certaines fois soigner. En 2022, j’ai créé l’association Hugo Marchand pour la Danse afin d’offrir des spectacles d’exception accessibles à tous, au tarif unique de 13€ et faire de lieux emblématiques du patrimoine local, des acteurs vivants de la culture, en les transformant le temps d’un week-end en sublime écrin pour les danseurs de l’Opéra de Paris. https://hugomarchandpourladanse.org/a-propos/

Photographe Gerardo Vizmanos ------ -cliquez sur les photos

Photographe Gerardo Vizmanos ------ -cliquez sur les photos
Je suis un photographe né en Espagne et je travaille entre New York et l'Europe (basé à Berlin). J'ai étudié à la School of Visual Arts de New York et au programme de MA Photo du Royal College of Art de Londres. J'ai reçu en 2011 le prix International Talent Support en Italie. Mon travail a été exposé et présenté dans diverses galeries et publications.

Julien Benhamou, le talent au service des danseurs...

Julien Benhamou, le talent au service des  danseurs...
le photographe des artistes, des danseurs de l'opéra de Paris

ARTCENA : Centre national des arts du cirque, de la rue et du théâtre

ARTCENA : Centre national des arts du cirque, de la rue et du théâtre
Pass Culture : ce qui change à compter du 1er mars 2025 Le Pass Culture, instauré sur tout le territoire en 2021 pour faciliter l’accès des jeunes à la culture et ainsi ouvrir droit à une variété d’activités et offres culturelles, vient d’être modifié par Décret publié au Journal officiel ce 28 février. Lire l’article sur le site artcena

dimanche 15 novembre 2020

Danse , culture. A relire l'article sur ce jeune danseur Germain Louvet, jeune étoile : "J'ai mis plusieurs mois à me sentir légitime"

 


               Claire Chazal et Germain Louvet danseur étoile

Il est la première des quatre étoiles nommées par Aurélie Dupont, directrice du ballet de l'Opéra national de Paris depuis plus d'un an. Portrait de Germain Louvet, un jeune artiste et athlète qui est allé vite et reste conscient du chemin à parcourir...

Directrice du ballet de l'Opéra national de Paris, l'ancienne étoile Aurélie Dupont vient de boucler sa première saison. Alors qu'un document interne révèle des cas de harcèlements et certains dysfonctionnements de l'institution, la directrice entend bien y remédier et poursuivre son travail. Le 1er juillet 2018, dans le Journal du dimanche, elle résumait son état d'esprit ainsi : "Cette compagnie est un nid de talents et j'ai énormément ambition pour eux. Mais il faut être patient. Quand je suis devenue étoile, je ne faisais pas non plus l'unanimité... Une carrière se juge sur la durée. J'ai nommé quatre étoiles depuis mon arrivée. Il faut leur laisser le temps de se développer et de nous surprendre." Germain Louvet, l'une de ses étoiles, surprend déjà...

À 25 ans seulement, le jeune danseur est allé vite, très vite. Il entre dans le corps de ballet dès sa majorité. Alors qu'il n'est encore que coryphée, 4e échelon dans la hiérarchie des danseurs, Germain Louvet se voit offrir son premier rôle par le directeur du ballet de l'époque, l'audacieux Benjamin Millepied. Comme le danseur le raconte dans le portrait que lui consacre Claire Chazal dans Paris Match, en kiosques le 28 juin, être le prince dans Casse-Noisette lui permet de travailler de très près avec Aurélie Dupont, encore étoile. Une chance immense : "Ce furent deux mois fondateurs, j'ai compris ce qu'être seul en scène signifiait. Aurélie m'a appris à être soliste, j'ai une très grande admiration pour elle en tant que danseuse et directrice. Les battements cardiaques, la bouche sèche, les crampes... Il faut les accepter : tirer partie d'un état de fébrilité et faire de ses peurs une force."

Première fois à La Scala

Après ce Casse-noisette, Germain Louvet – qui voulait être danseur dès l'âge de 4 ans ! – tient son nouveau grand rôle dans Roméo et Juliette puis il est de nouveau prince dans Le Lac des cygnes. Nous sommes le 28 décembre 2016 et il devient étoile à l'issue de cette représentation. Il a 23 ans à peine. Il venait d'être promu premier danseur lors du concours interne – un titre qu'il ne devait porter qu'à partir du 1er janvier 2017, mais Aurélie Dupont en aura décidé autrement.

                                        Germain louvet

Au moment de cette interview pour Paris Match, en mai 2018, le jeune Germain Louvet est à la Scala de Milan pour la première fois de sa carrière. On y célèbre, sur trois jours, l'anniversaire de naissance et de mort de l'immense Rudolph Noureev. Le défi est de taille : interpréter le difficile acte III de La Belle au bois dormant du danseur et chorégraphe russe en compagnie de la grande danseuse du Bolchoï Svetlana Zakharova. Face à une artiste qui connaît parfaitement le ballet de Noureev, le Français n'a pas le droit à l'erreur. Une épreuve comme il en surmontera d'autres : "J'ai mis plusieurs mois à me sentir légitime. À trouver une sorte de posture intérieure, plus solide. Et enfin je me suis dit : 'Personne ne pourra plus jamais m'empêcher de danser.' (...) Mais je sais que tout est à faire maintenant..."

 source https://www.parismatch.com/Culture/Spectacles/Germain-Louvet-le-petit-prince-de-l-Opera-1549511

https://www.operadeparis.fr/artistes/germain-louvet

https://danseclassique.info/personnes/germain-louvet/

https://twitter.com/germainlouvet?lang=fr

                          Pablo Pillaud Vivien et Germain Louvet. source instagram 2020

Casual morning of love - je rigole, trop pas en vrai, on est méga pimpés, j’ai des fourmis dans les jambes et ma tête ne repose sur rien donc je suis en tension de la mort (et au fond, je sais que ça se voit)

 source photo TÊTU Magazine @tetumag @theonlyromain3000  Photographe Arthur Delloye @arthur_delloye Styliste Noemie Beltran @noemiebeltran
Directeur créatif @nataniel.nmrobert @vaadigm Studio @royalcheesestudio
Make up Helena Henrion @helenahenrion Hair stylist Camille Arnaud @cami.arnaud

https://www.instagram.com/pablopillaudvivien/?hl=fr

mardi 20 octobre 2020

photographing the boys of the bolshoi ballet Former dancer and photographer Kurtiss Lloyd visited the Bolshoi Ballet School, one of the oldest and most esteemed ballet companies in the world, to capture its unThis article was originally published by i-D UK. Earlier this summer, British photographer Kurtiss Lloyd traveled to Moscow for the first time. Confronted with the harsh realities of stark, urbanized Russia, Kurtiss began searching for clues about Russia's decadent past. It was my first visit to Moscow. I was staying in the city center, where the surrounding area was under constant construction. Compared to the majestic buildings of Russia's great past the new buildings looked harsh and foreboding. ique beauty.

                                          photographing the boys of the bolshoi ballet

 

                                                    Vladislav Kozlov, 23, Saratov,


What does dancing mean to you?
Dance for me is a means of expressing one's emotions and inner experiences. Sometimes it can be painful, but ballet dancers cannot live without dance.
What's the most challenging aspect of what you do?
The most difficult thing about being a professional ballet dancer is overcoming ourselves, as well as the everyday physical labour. This profession requires sacrifices, sometimes you have to sacrifice a personal life.


  Ilya Beresnev, 26, Germany

If you weren't a dancer what would you be?

I don't know, it's almost impossible to imagine myself not doing ballet.
What advice would you give to dancers hoping to follow in your footsteps?
Dance is life. If you don't live by it, you shouldn't do it.

Alexei Putintsev, 20, Moscow
What does dancing mean to you?
It's about freedom. Freedom of movement, reincarnation, and playfulness. Dancing is an opportunity to break free.
What is the most challenging aspect of what you do?
With dancing you need to have incredible patience, in order to endure the physical pain and trauma that comes with it, but also the emotional pain of not getting a part. The life span of a dancer is very short, so you have to keep your strength up. There will always be dancers to replace you so you must work very hard.

Alessandro Caggegi, 21, Manchester
Why do you dance?
I dance because there's something indescribable that fills my body when I'm on stage, an adrenaline or buzz when you're "in the moment." We are actors as well as dancers.
If you weren't a dancer what would you be?
Definitely a musician. I played in brass bands until I left for Russia, and also have my diploma as a pianist from the Victoria College of Music in London. I still try to keep in practice as much as possible.

https://i-d.vice.com/en_us/article/a333we/photographing-the-boys-of-the-bolshoi-ballet

jeudi 15 octobre 2020

Le danseur et le collant. Dans le milieu de la danse, certains danseurs semblent avoir une aversion pour ce morceau de tissus, qui moule le corps du danseur.



La culture, l’éducation, jouent un rôle dans cette approche parfois négative, qui se dégage du milieu familial, amicale, scolaire, etc.
Les clichés ont la vie dur, mettre un collant ce n’est pas devenir un homo comme ils disent. Le danseur serait moins viril, qu’un joueur de foot… le danseur Mathis Joubert, pour lui le collant semblait difficile à mettre, le prof de danse lui a laissé mettre le short. Peut-on y voir un manque de confiance en soi, derrière cette approche se cache certainement la peur de passer pour un gay. Conforté son image d’hétérosexuel, le regard des autres, la norme sociétal dominante de l’hétéronormativité est pesante . Soyez vous-mêmes, le collant qui focalise tant de regards sur vous, laissez parler, ils font ce qu’ils veulent avec leur cul. Vivez, danser, jouissez, et la vie sera plus belle. Maintenant danser !

 by Art Danse Culture

vendredi 4 septembre 2020

la culture à Tours. Christophe Dupin est le nouvel adjoint à la culture de la ville de Tours. Ce membre d’Europe Ecologie Les Verts, proche d’Emmanuel Denis, a récupéré une délégation où les enjeux sont nombreux, la culture étant un secteur confronté à de multiples maux depuis plusieurs années (baisse des subventions, manque de lieux, fin des contrats aidés…). Un secteur qui se retrouve également parmi les premiers impactés par la crise du covid-19 et ses retombées. De quoi susciter une attente forte autour de la nouvelle équipe municipale et en premier lieu son adjoint à la culture qui nous livre sa vision de la politique culturelle municipale pour les 6 prochaines années.

Les Inattendus : Un premier marqueur fort

Face à un secteur sévèrement touché par la crise du Covid-19 (annulations d’événements, absence de cachets pour les intermittents, difficultés des compagnies et structures…), Christophe Dupin et la majorité d’Emmanuel Denis ont souhaité proposer un événement dès l’été. Celui-ci avait été inscrit dans le programme électoral du 2e tour. Aussitôt élu, Christophe Dupin s’est donc employé avec les services de la ville a monté rapidement l’événement en question qui prend comme nom « Les Inattendus ».

Adjoint à la culture et à l’éducation populaire

 Ce n’est pas un festival en tant que tel, mais une succession d’événements culturels » explique l’adjoint à la culture qui se satisfait d’avoir relevé le défi et pu dépasser les contraintes : organiser le tout en 15 jours, répondre aux problématiques techniques et logistiques mais aussi celles sanitaires. En cet été 2020, l’organisation d’un tel événement relève en effet d’une incertitude totale, l’annulation de l’édition de septembre d’Aucard de Tours ce mardi, en étant un nouveau symbole.

« Les Inattendus » prendront la forme de multiples événements entre le 31 juillet et le 30 août, les week-ends. Cela débutera le dernier jour de juillet au 37° Parallèle à Tours-Nord, puis par de petits spectacles sur les marchés de la ville, dans les rues, les places publiques, les parcs et jardins… Le tout entièrement gratuit. Pour la programmation composée de musique de rue, théâtre d’intervention, danse, lectures, musiques anciennes…, la ville de Tours a cherché à faire dans le local, avec uniquement (ou quasiment) des artistes et compagnies issues du Val de Loire.

Avec un budget global de 150 000 euros, « Les Inattendus » (qui sont soutenus par ailleurs par Tours Métropole) ont aussi pour ambition de permettre aux habitants de profiter de leur ville, leur faire redécouvrir et plus largement de les associer à la démarche.

Adjoint à la culture et à l’éducation populaire

 Cette volonté d’associer les habitants, on la retrouve dans la nomination complète de la délégation de Christophe Dupin : « adjoint à la culture et à l’éducation populaire », un point auquel il se montre particulièrement attaché. « La place de l’art et des artistes doit être repensée afin de remettre plus de liens avec les habitants » prône-t-il en insistant sur le fait que « les habitants doivent participer au droit d’expression artistique, il faut que nous fassions vivre les droits culturels de chacun. »

Christophe Dupin explique ainsi vouloir s’interroger (et interroger) sur le rapport des habitants avec la culture et ce dans tous les quartiers. Au cours du mandat, il fixe ainsi un objectif de 100 projets artistiques nés avec les écoles maternelles et primaires de la ville. Un programme qu’il veut mettre en place à partir de septembre 2021, le temps de discuter avec l’Education Nationale et les enseignants.

Son fil rouge du mandat est donc l’implication des habitants dans les projets culturels. A l’inverse, il refuse une politique culturelle tournée vers les grands événements. « J’ai une autre vision culturelle, je pense que la culture doit rayonner autrement » dit-il en citant en mauvais exemples les fêtes martiniennes ou encore le festival du cirque de la Métropole. « Le côté positif c’est que cela a fait venir des enfants gratuitement, mais cela reste un mauvais exemple car c’est un événement hors-sol acheté tout fait, clés en main. Moi j’ai envie de défendre les projets qui associent les habitants et les artistes. »

Suite de l'article sur 37degres.   Source  https://www.37degres-mag.fr/a-la-une/christophe-dupin-adjoint-a-la-culture-de-tours-il-faut-associer-les-habitants-et-les-artistes/

L’œil, d’art danse culture sur la culture à Tours, depuis la prise de fonction de Christophe Dupin adjoint à la culture, il y a un frémissement, qui reste aujourd'hui trop faible,  pour parler d'un renouveau  culturel pour  la ville de Tours. La culture ce n'est pas que la Street culture, pour satisfaire les badauds qui déambulent sur les trottoirs de la ville. La culture avec l'implication des habitants peut devenir une soupe populaire sans saveur.  Quel projet  culturel pour faire rayonner la ville de Tours au-delà de nos frontières. Le mot populaire est souvent dans la bouche de Christophe Dupin, faut-il y voir un retour vers une culture de masse, au détriment d'une culture dite élitiste et intellectuelle, nécessaire pour encourager des vocations chez les jeunes, dans des domaines comme la littérature, le cinéma, le théâtre,la danse, l'opéra ,la musique,etc. By gr@37

mardi 11 août 2020

La "cancel culture" est-elle vraiment un phénomène nouveau? À travers l'histoire, plusieurs exemples montrent que le débat autour de la "cancel culture" est loin d'être nouveau. Films, statues, marques, personnalités publiques: ces dernières semaines, la “cancel culture” a beaucoup fait parler d’elle avec la suppression ou le remplacement de nombreuses œuvres imposées par des mouvements en faveur de la justice raciale et sociale.

 

Cette pratique se traduit par le fait de “condamner d’office” une personne et son œuvre après un acte répréhensible, en l’y associant totalement sans lui laisser la possibilité de s’exprimer ou de se justifier. Ainsi, une seule action critiquable peut conduire au boycott de l’art d’une personne, voire à son effacement, et ce sans prescription. Aujourd’hui ces condamnations passent notamment par les réseaux sociaux. Libérationcite l’exemple d’un “mauvais tweet”, qui même publié il y a dix ans pourrait, avec la “cancel culture”, causer du tort à son auteur et ce peu importe le contexte de sa publication.

Boycotter les œuvres 

Cela a par exemple été récemment le cas avec J.K Rowling, l’autrice d’“Harry Potter”. Suite à ses propos polémiques sur les personnes transgenres, des tweets ambigus qu’elle avait postés il y a une dizaine d’années ont refait surface. Pour condamner ses propos, de nombreuses personnes ont appelé au boycott de ses livres, d’autres ont fait retirer leurs tatouages en référence à la saga “Harry Potter” et des auteurs membres de la même maison d’édition qu’elle ont claqué la porte. 

Plus que dénoncer et supprimer des œuvres, la “cancel culture” pousse à ternir complètement l’image de la personne en tort, explique l’AFP. Très récemment, la mort de George Floyd et le mouvement “Black Lives Matter” ont par exemple conduit à la suppression du logo de la marque de riz “Uncle Ben’s”, jugé raciste. Le film culte “Autant en emporte le vent” avait également été retiré de la plateforme HBO Max, avant d’être remis avec des explications précisant que le film “nie les horreurs de l’esclavage et son héritage, celui des inégalités raciales”. 

 Aussi, un collectif de 150 personnalités du monde artistique, de la culture et des médias a rédigé une tribune publiée dans le magazine Harper’s et dans Le Monde. Ils y dénoncent “l’intolérance à l’égard des opinions divergentes”. “L’échange libre des informations et des idées, qui est le moteur même des sociétés libérales, devient chaque jour plus limité, écrivent-ils. La censure, que l’on s’attendait plutôt à voir surgir du côté de la droite radicale, se répand largement aussi dans notre culture : intolérance à l’égard des opinions divergentes, goût pour l’humiliation publique et l’ostracisme.” Parmi les signataires de la tribune, on retrouve J.K Rowling, mais aussi Margaret Atwood, autrice de “La Servante écarlate”, ou encore l’historien Mark Lilla. 

Un phénomène né avec les réseaux sociaux ?  Si certains considèrent que la “cancel culture” est née sur les campus américains et sur les réseaux sociaux à partir des années 2000, cette pratique pourrait bien exister depuis bien plus longtemps. Les réseaux sociaux ne seraient que la nouvelle façon dont elle s’exprime. “L’activisme sur Twitter, c’est facile: en une poignée de secondes, on peut attaquer quelqu’un ou faire circuler une pétition pour qu’il soit licencié ou mis à l’index”, souligne à l’AFP Richard Ford, professeur de droit à Stanford. Il ajoute également que désormais, “la cancel culture s’exprime régulièrement au-delà des réseaux sociaux, dans le monde académique ou du travail en général”. 

D’autres voient dans la “cancel culture” l’émergence d’un nouveau pouvoir, désormais à la disposition du plus grand nombre alors qu’il était autrefois l’exclusivité d’une poignée.

Pour Virginie Mathe, maîtresse de conférence en histoire ancienne, “là où la “cancel culture” est nouvelle, c’est que ce pouvoir n’appartient plus à l’élite. Auparavant, c’est elle qui remplaçait et supprimait des œuvres, des personnes, c’était très commun. Et comme aujourd’hui cela consistait à effacer les noms, à enlever les statues, à interdire des cérémonies”, confie-t-elle au HuffPost. 

“La cancel culture a déjà été un outil important du changement par le passé”, estime quant à elle Lisa Nakamura, professeure à l’université du Michigan qui a étudié le sujet. 

Des exemples à travers l’histoire

Son avis est rejoint par Marie-Karine Schaub, maîtresse de conférence en Histoire moderne. “Ce n’est pas un phénomène nouveau. J’ai plusieurs exemples en tête. Par exemple, au cours de l’histoire, il fut fréquent que certains lieux de cultes soient remplacés au moment des phases de christianisme, parfois à la demande du peuple. Je pense en particulier à la cathédrale de Cordoue, d’abord un temple romain, puis une mosquée puis une cathédrale”, explique l’historienne au HuffPost. 

“Au cours de l’histoire russe, après la révolution, les paysans transformaient le coin à icône devant laquelle on priait en coin rouge dans lequel on trouve un portrait de Lénine. Ils ont également changé des noms de villages pour que certains souvenirs du passé disparaissent. C’est une forme de transformation de la culture menée par des mouvements sociaux”, ajoute Marie-Karine Schaub.

Des propos que nous confirme Jerome Bazin, maître de conférences et chercheur en histoire sociale de l’art. “Je ne pense pas que ce soit une pratique nouvelle. La nouveauté est que désormais les comportements discriminants ordinaires sont également pointés du doigt, ce qui n’a pas toujours été le cas. Mais la société civile a déjà entraîné ce genre de mouvement et imposé des changements culturels. Il y a forcément des tas d’exemples dans le passé”, estime-t-il. 

Une pratique ancrée aux États-Unis    

Aux États-Unis par exemple, la “culture de la délation” est ancrée dans la société depuis des centaines d’années. À l’époque des westerns, les affiches “wanted” avec les visages de personnes recherchées pouvaient ressembler au phénomène de “cancel culture”. “Sans vrai procès, sans vraie défense, on était vite pendu”, relate France Culture à propos des personnes recherchées lors de la conquête de l’Ouest. Aujourd’hui, avec les réseaux sociaux, la pendaison a été remplacée par la destruction de l’image publique d’une personne, sans procès ni débat. 

“Ce réflexe n’a pas disparu dans le pays”, explique à l’antenne Jean-Eric Branaa, spécialiste de la politique et de la société américaine. “Quand une personne condamnée pour pédophilie s’installe dans un quartier, il arrive que ses voisins placardent des affiches dans les rues avec son nom et les faits pour lesquels il a été condamné. Cela n’est pas du tout considéré comme du harcèlement. La personne est obligée de déménager, jusqu’au jour où de nouveaux voisins découvrent à leur tour son passé. Avec l’émergence des réseaux sociaux, il est encore plus compliqué d’échapper à ces ‘Wanted’ de l’âge numérique”, s’inquiète le politologue. 

Si l’activisme sur les réseaux sociaux est souvent pointé du doigt et considéré comme le point d’ancrage de la “cancel culture”, force est de constater qu’il n’a servi qu’à donner une nouvelle dimension et plus de portée à une pratique déjà existante il y a des centaines d’années. 

  source  AFP et https://www.huffingtonpost.fr/entry/la-cancel-culture-est-elle-vraiment-un-phenomene-nouveau_fr_5f199123c5b6f2f6c9f27909??ncid=newsltfrhpmgnews#EREC-101

Danseur Paul Marque

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Opéra de Tours saison 2021/2022

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école de danse de l'opéra de Paris

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L'école atelier Rudra Béjart

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Le Béjart Ballet Lausanne

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Maurice Béjart, béjart ballet Lausanne

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Grande soirée de ballets au Palais Garnier -

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Défilé du corps de ballet de l'Opéra de Paris 2014. Les élèves de l'opéra national de Paris, les étoiles, ,premiers danseurs, Cliquez sur la photo, lien vers la vidéo

Julien BENHAMOU, sublime le corps du danseur

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Daniil Simkin Simkin and the City

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