plucky.lucky dancer, We are saying no matter who or what you are, you are my brother, I am your brother, we are family, and there is almost nothing we can't achieve if we put aside differences and focus on strengths. We are also reminded about our uniqueness, being aware that we don't have to tear others down because we look, sound, think differently.

Woven is a dance photo editorial which tells the story of the long awaited wish denied us - UNITY, CHANGE, TRANSPARENCY.

The key elements in this editorial merges two distinct dance styles - ballet & contortion into one BEAUTIFUL PIECE, explaining the possibility of tribes unifying no matter the differences. Just as we try to focus on unity and transparency to bring change, we are focused on virtues that unite us, and less on the vices that drive a wedge between us.

 Focusing on the bigger picture of prosperity and strength through harmony and diversity, we are sure there is no mountain we can't climb, no corruption we can't root out, no future we can't build.

Directed, Styled and photographed- @coffee_session.artModels - @plucky.lucky @smoke_himselfVideographer - @iamjunie07Writeup synopsis - @samueloscar_ugoh @coffee_session.artGa Audio poetry by Gabriel Obodai Torgbor-AshongMain poetry sampled from Sandra Feldman & Rose Marie Juan – Austin

"Don't judge a book by its cover" ... "Whether poor or rich we still need to communicate" by naguib swiris....I don't know the key to success but the key to failure is trying to please everyone -bill cosby

https://www.facebook.com/plucky.lucky.7?sk=about&section=year-overviews&lst=1002001203%3A100004473545664%3A1591385404

 

Toulouse : les écoles de danse demandent à pouvoir pratiquer Un collectif d'écoles de danse, le LAD (pour liberté, action, danse) réclame au gouvernement de pouvoir pratiquer. Elles estiment être les "oubliées" de la culture, dans le plan de déconfinement. a France compte quelques 23 000 écoles et structures de danse, fréquentées par environ deux millions de pratiquants amateurs.

Alors que le pays se déconfine progressivement mais sûrement, ces écoles ne sont pas autorisées à rouvrir en l'état. Elles sont obligées, quand elles le peuvent, de donner les cours en extérieur. Ou à ouvrir les ateliers, à raison de 5 mètres entre chaque danseur. Des conditions quasiment impossibles à respecter.

La danse, la grande "oubliée" ?

Une injustice criante pour le collectif LAD (liberté, action, danse), créé le 11 mai dernier au premier jour du déconfinement, et qui compte plusieurs structures dont certaines de la région toulousaine. "Sommes-nous les moins à même, nous, les professionnels du corps en mouvement, d’imaginer une reprise dans de bonnes conditions de sécurité sanitaire pour nos professeurs et nos élèves ? À l’heure où certains lieux publics bien plus à risque que nos centres de danse rouvrent, mais aussi au moment où le gouvernement nous demande d’effectuer nos cours de danse en extérieur sur du béton ? L’incohérence est bien là !", expliquent les membres de ce collectif.

Danser avec des masques

La pratique de la danse est possible dans les ateliers, et dans le respect des gestes barrières, assure le collectif qui demande la réouverture des écoles dès le 2 juin prochain. Sans cela, ce sont de nombreuses écoles qui vont mettre la clé sous la porte, selon lui. 
"On a préparé un protocole appliquable à toutes les structures", explique Véronique David, de l'école 144 à Toulouse, "avec suffisamment d'espace et surtout, avec des masques, parce que oui, c'est possible de danser avec un masque. Il suffit juste d'adapter le rythme du cours de danse". 
Le souci, pour ces professionnels, c'est que les consignes semblent encore contradictoires. Et si elles se confirment, soit 5 mètres entre chaque danseur, "ce n'est économiquement pas possible", selon Véronique David.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/toulouse-ecoles-danse-demandent-pouvoir-pratiquer-1835458.html?fbclid=IwAR3rIu509frJxhCp0npoVfnmTINxbI3kFxBmRhT-x8ngDU9ncyRyNj0QSFk