Culture et patrimoine La politique actuelle est axée sur la restauration des vieilles pierres, certes nécessaire, voir indispensable dans certains cas. En ce qui concerne les édifices religieux, qui sont à la charge de l’état, du contribuable, on peut s’interroger sur la séparation des pouvoirs publics et du religieux. La laïcité à du plomb dans l’aile depuis bien longtemps. Les vieilles pierres occupent Stéphane Bern, son investissement est noble pour cette cause , mais ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt. Au-delà que se passe-t-il, le patrimoine ancien, a été construit par des bâtisseurs, à des époques de notre histoire, pendant des siècles. Aujourd’hui que faisons-nous pour laisser un nouveau patrimoine contemporain, pour les générations à venir. Le passé ne doit pas servir de faire valoir au manque d’inspiration, et de créativité de nos dirigeant.e.s politiques, par une politique qui colmate les brèches uniquement des vieilles pierres. L’avenir de notre patrimoine culturel, passe par l’innovation, la construction d’édifices qui resteront comme une empreinte de notre époque, pour toutes les générations. Actuellement tout cela donne l’impression, que la période de notre histoire que nous traversons, ne sera qu’une page culturellement blanche pour le patrimoine de notre pays. Un pays sans bâtisseur est un pays qui se repli sur lui-même. Si nos ancêtres n’avaient pas bâti pendant des siècles, nous serions dans un désert culturel. Aujourd’hui nous sommes à la croisée des chemins, le passé à gérer et l’avenir à construire ! by@gr37